1. Kevin (avant-dernière partie)


    Datte: 21/06/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... chatte débordait de jus !- Laisse-moi passer ! Lui criai-je, en essayant de l’écarter de la porte.Mais il ne bougea point. Au contraire, il me prit le bras par le poignet et dirigea ma main vers son paquet :- Touche-moi, Sandra ! Touche comme je suis dur à cause de toi !- Non, mais… Arrête !!! Criai-je tandis que, de l’autre main, je le giflai de toutes mes forces.Pour un court instant, il fut choqué et resta sans parole. Mais, il se ravisa rapidement et m’attira, avec force, contre lui. Il cherchait à m’embrasser comme la dernière fois et, moi, je me débattais en tournant la tête de droite à gauche. Seulement, je me sentais de plus en plus affaiblie, plus que tout, par mes propres contradictions. Pendant toutes ces semaines, je m’étais faite à l’idée que je serais capable de lui tenir tête, que la Sandra cérébrale et judicieuse vaincrait l’autre, la petite salope, toujours chaude et prête. Rien de tel n’était en train de se produire. Au contraire.Nos bouches finirent par se retrouver. Nos langues, aussi. Il me tenait toujours la main par le poigné, contre son pantalon. Je l’ouvris et la plaquai sur sa verge, en saisissant toute sa dureté. La position n’était pas du tout confortable. Il le comprit et me lâcha la main, pour s’emparer, avec les siennes, de mes fesses, qu’il pelota amplement, jusqu’à se rendre compte que je ne portais pas de culotte. Puis, il glissa ses mains sous ma nuisette et me tripota le cul lascivement. Il grognait de plaisir, tout en me mordillant le ...
    ... cou, le léchant, ainsi que mes oreilles. Mes bras étaient suspendus au long de mon torse, en signe d’abandon. La salope avait vaincu.Ses mains n’arrêtèrent de fouiller mon corps. Je sentis, aussi, comme ses doigts cherchaient mes entrées intimes. A leur contact, je me sentais fondre, comme un glaçon sous l’effet d’un chalumeau. Je gémissais. Mon excitation atteignait le paroxysme. La chaleur surgissait de mes entrailles et s’étendait jusqu’à la pointe de mes cheveux et le bout de mes orteils. Je suffoquais ! L’aire me manquait et mon cœur battait la chamade.Je me suis libérée de son étreinte et je fis deux pas en arrière, jusqu’à toucher avec mes fesses la machine à laver. Je me suis appuyée, les deux mains à plat sur la surface de l’engin, les jambes inconsciemment écartées. Franchement, je m’attendais tellement à qu’il ouvrit sa braguette, sortit sa queue raide et me prit sans d’autres préambules, que ce qu’il fit me laissa stupéfaite…Il s’approcha, me souleva de quelques centimètres pour que mes fesses pussent se poser sur le bord de la machine et sépara mes cuisses, laissant ma chatte entièrement à sa disposition. Ensuite, il s’accroupit et sans la moindre hésitation, il se mit à me lécher le minou !- Ffffff ! Aaaahhh ! Ffffff ! Oh, oh, oooohhhh !Je n’arrivais pas à articuler un seul mot. J’étais aux anges ! J’aurais voulu lui dire que j’étais sale, que depuis la veille au soir, je ne m’étais pas lavée… Que son père m’avait fistée par tous mes orifices… Que je lui avais même ...