1. Cécile, ma première fois


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Première fois

    ... par le vicaire qui voulait se débarrasser vite fait d’une visiteuse qui se trouvait là plus par amour des belles choses que par la crainte du Seigneur. « Je te présente Cécile, entre artistes, vous allez bien vous entendre … » Et voilà l’abbé parti me laissant seul face à une jolie femme superbe, façon Audrey Hepburn, hâlée, la trentaine … Un corps de danseuse, à la fois gracile et musclé. C’est peu dire qu’elle allait légère et court vêtue, on était en juillet : un dos nu retenu seulement par une fine bretelle qui mettait en valeur une poitrine faite pour remplir la main d’un honnête homme, si pas les deux, une jupe mini au ras de la touffe, des jambes kilométriques, des pieds menus et soigneusement manucurés dans des tongs … Tout cela dans une église. A peine ai-je eu le temps de lui détailler une sculpture présente dans l’église que la belle fut saisie d’un frisson parce que, canicules ou pas, le soir tombait et le vénérable édifice commençait à se refroidir. Mais la chasseresse avait trouvé la proie à son goût … Elle me fit le coup des estampes japonaises adapté à la situation en me disant qu’elle était dessinatrice, qu’elle habitait pas loin et que, si je le souhaitais, elle me montrerait volontiers quelques-unes de ses œuvres … Je dois dire que je n’en menais pas large, impressionné par la différence d’âges. La coquine, rompue au commerce des hommes ne manqua pas de profiter de cet ascendant qu’elle avait sur moi, ce dont elle s’était immédiatement rendu compte. J’en ...
    ... ris maintenant mais je me suis presque retenu de lui dire « Oui, Madame ! » Cet ascendant n’allait pas durer, la pénétration de ma queue pistonnant sa chatte, prisonnière pour la première fois du fourreau d’amour, nos poils pubiens entremêlés. La première éjaculation passée, elle m’avait immédiatement initié à la levrette suscitant d’emblée l’instinct du mâle dominant qui possède sa femelle consentante. Me voilà parti docile avec la belle inconnue … Je dois dire que le temps de la promenade, avec les terrasses noires de monde des grands boulevards par ce beau soir me permit d’ observer les regards excités mêlé d’envie à mon endroit, des mâles qui, tout en sirotant leur consommation, détaillaient les jambes nues de ma compagne, s’attardaient sur le dos nu à peine retenu par un joli nœud dont il suffirait de tirer la ficelle pour dévoiler une généreuse poitrine qui pointait fièrement sans soutien. « Ils sont jaloux ! » me glissa-t-elle perfidement en me prenant la main pour bien montrer un signe de propriété à l’endroit de ces crabes en rut qui ne retiendraient d’elle qu’une apparition de rêve en baisant, cette nuit-là, leur bobonne à titre de maigre compensation. Elle savait y faire pour prendre ainsi possession tout en suscitant en moi un sentiment de fierté masculine par l’élection qu’elle m’attribuait ostensiblement au vu et au su de ces inconnus et ces inconnues. Je ne lâchais pas sa main … elle s’enhardit en poussant le vice de la tentation : elle me caressait de temps à ...
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