1. Cécile, ma première fois


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Première fois

    ... autre la paume de la main de son majeur replié puis, vitesse supérieure de manière de plus en plus insistante, avec les ongles de trois doigts. Enfin arrivés, il fallait prendre l’ascenseur minuscule. Nous étions serrés l’un contre l’autre. Elle en profita de gaspiller son espace disponible en se collant à moi. Je sentais ses tétons pointés s’écraser contre ma poitrine. La réaction animale ne tarda pas à se faire sentir sous la forme d’un renflement impossible à dissimuler. D’autant plus que je sentais son pubis qui pressait de plus en plus le renflement pour sentir l’effet. Elle n’en fit rien paraître de manière à prendre le temps de sentir monter mon désir et d’en jouer … L’appartement dans les combles était petit mais coquet, un intérieur d’artiste, avec la table à dessin, les pots d’encre de chine, les plumes, les pinceaux. Nous avons parlé des heures. Toujours aussi impressionné je m’évadais dans la philosophie pour donner le change. La gazelle (moi) tentait d’échapper au prédateur (elle). Mais ma résistance faiblissait dans cette course-poursuite. Enfin, vers une heure du matin, bien certaine que la proie ne lui échapperait pas et que j’allais être obligé de loger là, elle me lâcha tout de go avec un calme olympien comme une réceptionniste d’hôtel qui reçoit un client : « Tu dors nu ? Je n’ai pas de pyjama d’homme à t’offrir « Mon corps opposa alors une résistance aussi inattendue qu’incontournable ! La migraine ! Je souffrais depuis des années de cette saloperie qui ...
    ... me saisissait dans les moments de stress. Un seul remède dans ce cas, il fallait laisser passer l’orage en m’allongeant à même le sol pour essayer de dormir. Ma mine de papier mâché et la transpiration qui m’envahissait n’avait pas échappé à Cécile qui se fit maternelle. Elle connaissait cela et pouvait transformer son plaisir selon le principe que ce qui est pris n’est plus à prendre. Pour autant que je me souvienne, sa main caresse mon épaule, elle déboutonne ma chemise, ses doigts glissent sur ma poitrine, elle déboutonne ma ceinture me met nu en un tournemain non sans en profiter pour effleurer en connaisseuse ma touffe et mes couilles que j’ai très poilues. Je m’allonge à même la moquette avec un simple coussin pour soutenir ma tête. Elle me couvre d’un plaid … Souffrance ! Je n’ai jamais très bien saisi le mécanisme de ces migraines pendant mon adolescence mais la douleur de la céphalée était accompagnée d’une envie irrépressible de baiser. Alors, imaginez chers lecteurs et lectrices dans quel état je me trouvais ce soir-là, avec cette femelle en rut à portée de queue ! Enfin je plonge dans le sommeil. Ces désagréments ne sont plus qu’un mauvais souvenir parce qu’ils sont passés après cette première fois qui n’allait pas être la dernière. Je ne sais plus le temps que j’ai dormi. Il fait encore nuit quand j’émerge. La douleur est passée. Etrange sensation : je commence par percevoir la lueur tremblotante de deux grosses bougies. Serais-je retourné à l’église ? Est-ce un ...
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