1. Cécile, ma première fois


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Première fois

    ... me fait un effet du tonnerre. Elle maîtrise parfaitement la situation dans son rôle d’initiatrice. Elle se redresse légèrement pour me présenter cette fois sa raie du cul et son petit trou. Je ne tarde pas à y introduire ma langue ce qui lui arrache son premier râle de plaisir. « Et ben dis-donc ! Tu es doué pour la chose ! « Waow ! ta queue est grosse et en plus tu es circoncis, j’adore ta touffe, ça promet. Qu’est-ce que tu en dis de ma forêt à moi ?» Je suis fasciné par sa motte poilue. Mais, pour l’heure, nous sommes à une séance d’initiation. Elle sait qu’elle doit ménager l’élève pour ne pas aboutir à une éjaculation prématurée. Il faut calmer la bête dans un interlude tendresse. Elle se retourne tout de go et s’allonge sur moi. Nos lèvres se touchent. Elle introduit sa langue entre mes lèvres qu’elle écarte. Elle dépasse la barrière de mes dents, cherche ma langue qu’elle suce pour la faire sortir de son repère. Je suis saisi par le vertige. Nos salives se mêlent, nos langues se cherchent. Sa main glisse le long de mon ventre, saisi ma queue. Je n’y tiens plus. D’un coup de rein je la fais rouler sur le côté. Je saisis ses bras que j’écarte pour la coucher sur le dos. « Ô là ! mon mâle s’éveille ! « Ses seins sont là, offert pour la caresse. Elle s’abandonne, heureuse ! Je passe d’un sein à l’autre. Je suce et je mordille ses têtons qui durcissent, ma langue s’introduit dans son nombril. Je baise son ventre. Je descends au clito, remonte aux tétons « C’est bon ! Tu ...
    ... me rends folle ! Prends-moi ! Viens dans moi !» Elle guide ma queue à l’entrée de sa grotte d’amour. Ses jambes se posent sur mes reins. Les talons poussent mes fesses. Mon gland est tout près de la porte. Nous nous arrêtons un instant, comme émerveillés, pour goûter le moment qui précède la chute vers l’enfer des délices. Elle mouille à mort. J’y vais par petits coups. Elle est attentive pour goûter chaque seconde. Je sens ses talons impatients qui poussent mes fesses. Un coup de rein et je la pénètre à fond. Elle pousse un rugissement de victoire : « Et voilà mon ami ! tu as croqué la pomme, tu n’es plus vierge, le péché de la chair est commis, il te reste à vider dans mon con le divin calice de ton jus ! » Après avoir goûté les sensations nouvelles pour moi de son fourreau autour de ma bite par des coups commence à la pistonner vigoureusement. Elle en veut plus. Je sens ses jambes se poser sur mes épaules pour une pénétration maximale. Je ne me le vais pas dire. J’accélère le mouvement. L’odeur âcre de sa transpiration éveille la bête en moi. Nous sommes en nage. Elle commence à gémir à chaque coup de boutoir qui lui enflamme le vagin. J’accélère le mouvement - Oui viens, lâche ton jus dans ma chatte. Ouiiiiiii ! Plus vite ! - Tiens prends ça salope ! Et encore ça ! - Ouiiiii, j’adore les mots orduriers. C’est bon ! Je vais jouir ! Lâche-toi, viens Nom de Dieu ! inonde-moi ! Viiiiiiens ! Cette fois je ne peux plus me retenir. Je lâche ma semence qui vient par saccades. Je ...
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