1. Elodie


    Datte: 28/11/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, amour, Oral pénétratio, fdanus, fouetfesse, init, couplea3,

    ... dois te punir de ton étourderie ?— Non Milo. Vous allez me donner la fessée ?— Je ne sais pas. Normalement, c’est une amende de dix euros. Que choisis-tu ?— Je préfère la fessée.— Bien. Retire tes chaussures. Elle porte un pull noir ras du cou, un collant de laine noir et une petite jupe de lainage beige. Je lui ôte sa jupette, son collant et baisse son slip sur les mollets, puis l’installe sur mes genoux et entame la punition. Je ne frappe pas bien fort, on s’en doute. Il faut toutefois que je l’amène au plaisir, aussi je lui claquette ses adorables fesses longtemps, espérant obtenir une réaction, laquelle finalement se manifeste sous la forme d’un gémissement et une tentative d’interposition de sa main droite vers son postérieur rubicond. — Qu’y a-t-il, ma chérie, dis-je en retenant sa main, tu n’aimes plus ma fessée ? J’en ai encore pour longtemps, tu sais, ne t’impatiente pas !— Oh non Milo, s’il vous plait, ça chauffe trop, là… Je glisse le majeur entre ses cuisses, vers l’abricot qui se révèle bien humide, aussi je stoppe la fessée. Je l’allonge sur le lit à plat ventre et m’en vais chercher la pommade. Cela me permet de caresser son fessier bien rouge avec la crème apaisante, tout en essayant de calmer mes pensées en effervescence. Il faut bien voir que c’est la première fois que j’ai l’intention de frotter ma peau contre la peau d’une autre femme, je n’ai aucune expérience saphique, je ne sais pas comment m’y prendre sinon en m’inspirant de ce que me fait Fred pour ...
    ... m’amener au plaisir, sauf bien sûr lorsqu’il me pénètre de son membre viril. Je me déshabille complètement, puis assise à nouveau sur le lit, je la prends sur mes genoux pour un gros câlin. Je lui retire son pull, puis son soutien-gorge et nous voilà nues toutes deux. Je lui relève la tête et pose mes lèvres sur les siennes, qui s’ouvrent et nous nous embrassons goulûment. Je m’allonge sur le lit et l’attire sur moi. Nos poitrines se touchent, ainsi que nos pubis. Nous nous embrassons encore. Elle descend un peu pour me cajoler les seins, prendre les tétons entre ses lèvres, caresser les globes, tout cela avec délicatesse. Je la dispose à cheval sur moi puis, attirant vers moi son bassin, j’amène sa vulve contre ma bouche. Ma langue peut alors dénicher son bijou au sommet de sa fente que j’écarte de mes index. Sitôt que je titille le petit organe, elle trépigne en gémissant. — Qu’as-tu, ma chérie, c’est pas bon ?— Oh, Milo… ne vous moquez pas, s’il vous plait, encore, encore ! Elle est tombée sur ses coudes. Mes deux mains caressent son fessier assez chaud, de la pulpe d’un doigt je palpe son anus, sans y pénétrer. Gémissements et petits cris annoncent une apothéose prochaine, d’ailleurs nous y voilà avec un flot de liqueur qui envahit ma bouche. Elle s’est écroulée sur moi, elle me murmure à l’oreille des choses incompréhensibles, essoufflée, heureuse, chatte au possible, elle ne sait comment manifester sa reconnaissance. — Eh bien, ma biche, as-tu aimé ? Veux-tu recommencer ...
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