Elodie - Histoires de Sexe

Elodie

... ?— Milo je vous aime…— Houlà, les grands mots, déjà ? Moi aussi, ma chérie, je t’aime, dès que je t’ai vue je t’ai aimée, ça va faire bientôt trois mois que je crève d’envie de faire ça avec toi et nous allons recommencer, en mieux…— Avec encore une fessée ? Tout de suite ?— Non chérie, tu l’as bien deviné, la fessée-punition c’est fini. Maintenant il faudra que tu me la demandes pour l’avoir, et si tu as été vilaine, tu ne l’auras pas…— Oh alors je vais être très sage, Milo, je vais faire très attention à ne rien oublier, à bien travailler, à mériter ce doux châtiment.— Et tu l’auras, avec toute ma tendresse. En attendant, Fred va bientôt arriver. Il faut nous rhabiller et préparer le repas. Nous avons eu du mal, ce soir-là, à faire en sorte que Fred ne découvre pas notre nouvelle situation. En fait, je connais assez mon chéri pour ne pas le prendre pour un benêt, d’autant qu’il m’avait accordé sa bénédiction. Il a suffi d’un seul coup d’œil discret entre nous pour qu’il soit au courant. Après le repas, animé d’une ambiance joyeuse bien naturelle en cette fin de semaine, nous nous installons au salon, sur le canapé, Fred entre Élodie et moi. La télé débite un documentaire sur les gorilles en perdition qui semble passionner modérément Élodie, tandis que je me pelotonne contre mon homme, faisant ma chatte, lui murmurant à l’oreille que j’ai sommeil et hâte d’aller au lit, en lui mordillant le lobe d’oreille. Il comprend bien vite et nous souhaitons le bonsoir à la demoiselle. ...

... Dans l’intimité de notre lit, je l’informe de nos faits et gestes, ce qui le fait bander comme un âne. — Dis-moi, mon chéri, j’ai l’impression que ça t’excite, ce que je te raconte…— Non, c’est ta main sur ma queue, là, j’ai même de la peine à bien suivre ton baratin, tu me disais, après une petite fessée pour l’exciter, qu’est-ce que tu lui a fait exactement ?— Oh l’hypocrite ! Bien. Occupe-toi de moi, maintenant, tu sauras la suite après si je suis satisfaite. Aussitôt, en amant obéissant, il fonce tête la première sous la couette et attaque, langue en avant, ma chatte gourmande de la caresse qui s’annonce. J’ai une particularité physique, qu’il a de suite repérée, celle de n’avoir presque pas de clitoris. En fait, mon bijou, nullement insensible, reste à l’état de petit pois planqué sous son capuchon, et il faut une langue énergique pour l’en déloger et l’émoustiller. Mais mon Fred maîtrise parfaitement cette disposition, il est même devenu un artiste de la chose pour m’amener en quelques minutes à un orgasme remarquable, quelquefois même explosif. Il m’accorde gentiment trois minutes pour retrouver mon calme et demande la suite de l’histoire. — Tu veux pas me la mettre de suite ? Tu vas pouvoir attendre que je t’explique longuement tout ce que nous avons fait après que je lui ai un peu réchauffé les fesses ?— Non, tu as raison. Voilà, mon cœur, tiens, je te la mets, j’y vais tout doux, bien jusqu’au fond, puis je ne bouge plus et tu me racontes.— Oui mais… Bouge un petit ...