Ma tante de 45 ans est sublime (12)
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... te dire quelque chose. — Je t’écoute. — Ce que l’on fait ensemble, tu n’en parles à personne, si ta mère le savait... — Oui, si ma mère savait que sa sœur adore se faire baiser par son propre fils ! — Sois sérieux. — Je le suis et c’est vrai que tu aimes te faire baiser par ton neveu. — Oui, même si je suis ta tante, j’aime me faire sauter par toi, je dois l’avouer ; la façon dont tu me fais l’amour est carrément unique... Je m’approchai en retirant le drap. Après un bref baiser, Chantal se cambra pour m’offrir son sein. Je caressai sa poitrine à la peau si claire et mes lèvres englobèrent son mamelon déjà en alerte. Je tétai son sein et lui mordillai son téton qui ne tarda pas à grossir. Ma tante passa sa main dans mes cheveux. Tout en me délectant de ses beaux seins bien fermes, je frôlai son pubis. Quelques passages entre ses cuisses me firent comprendre que ma succion avait provoqué une forte excitation chez ma tante. Ses longues jambes s’entrouvrirent majestueusement. Même si ça ne fut pas la première fois, cette façon qu’elle avait de me faire comprendre, qu’il était temps que je m’occupe de son intimité me donnait des frissons intérieurs. Je restai sur cette image de ma tante débarquant en bikini, en ce jour d’août dans la maison de mes parents. Désormais, elle était nue, m’offrant son corps sans pudeur faisant abstraction des liens du sang qui nous unissaient. Du haut de mes 19 ans, je restais en extase devant ma tante, pour tout ce qu’elle représentait à mes ...
... yeux ; la femme mûre hyper bien foutue, fantasme de l’adolescent que j’étais. Je ne pus résister à me positionner en face de son sexe. Accroupi devant ma tante, j’observai son corps fabuleux, je ne me lassai point de regarder son visage apaisé et souriant, sa poitrine bien dressée, son ventre si doux et son intimité silencieuse prisonnière de ses jambes si fines. La voir ainsi, prête à faire l’amour, prête à me recevoir dépassa mon imagination. Je fermai brièvement les yeux tout en caressant ses cuisses, pour y voir au loin des étoiles silencieuses brillantes dans un ciel sans lune. Tout en gardant les yeux clos, mes mains s’attardèrent sur ce triangle intime où se déposèrent mes étoiles, telles des pierres précieuses dans leur écrin. Il me sembla y déceler une source naissante dont l’eau si claire se fit tiède au contact de mes lèvres. Ma langue s’aventura dans de filon pour y gouter son contenu. J’entendis au loin la voix d’une femme désespérée, dévastée par la collation que j’avais entreprise. Elle me rejoignit en serrant ses mains contre les miennes. Ma source devint abondante, je la devinai rayonnante de m’apporter autant de liqueur tépide. Je revins à la réalité en posant mon regard sur cette source câline. Source capricieuse qui se referme à l’orée de l’ennui, ou qui s’ouvre à ne savoir qu’en faire, quand ma langue, géomètre de hasard flatte les profondeurs de son intimité abandonnée. Ma tante en fut ravie, l’entendant poussant de petits cris étouffés. Je pratiquai un ...