1. Ma tante de 45 ans est sublime (12)


    Datte: 08/08/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... cunnilingus dans les règles à ma tante adorée. J’aspirai ses lèvres intimes tout en suçotant sa sublime liqueur. — Tu sens bon ma tante. — Je vois que tu te régales ! — Je suis gourmand de toi... Chantal baissa ses paupières comme pour mieux apprécier le plaisir d’avoir son sexe dans ma bouche. Sa rivière à diamants devint enchanteresse, je fus en transe. Ses mains dans mes cheveux m’incitèrent à accentuer ma succion. Je quittai ses fabuleuses lèvres pour me redresser, face à ma tante. Un petit clin d’œil taquin de sa part, me fit comprendre que Chantal attendait son neveu de pied ferme. Elle avait son sexe ouvert, apte à me recevoir. Un bref mouvement de son bassin fut une invitation à venir la pénétrer. Je m’allongeai sur elle. Chantal me saisit pour m’introduire en elle. Je progressai lentement dans son intimité tout en lui baisant le cou. Son souffle chaud devint haletant, ma tante croisa ses jambes dans mon dos. Elle voulut par ce geste me montrer qu’elle me recevait toute entière, profondément en elle. Mon rythme put s’apparenter à une sorte de boléro. Ma tante si proche sentit la puissance, le désir de lui faire l’amour monter en moi. Bien que le boléro se passe en trois temps, j’insistai sur le 1er pour en oublier le 2ème. Ma tante chercha mes lèvres pour un baiser passionné avec son neveu. — Jean, que c’est bon de te sentir, te sentir en moi si fort. — Je sais ma chérie, profitons-en. Aussitôt, je passai enfin au 3ème temps ; ma tante décroisa ses longues jambes ...
    ... afin de se donner pleinement à moi. J’eus ce que je voulais ; ma tante se lâchait des pieds à la tête. Elle se mit à gémir de manière intempestive. Ses gémissements furent symboliques. Désormais, nul besoin de me dire sa jouissance, je devinai son relâchement total, sa libération durant l’acte. — Oh ouiii Jean, tu me fais jouir ! — Ca n’est pas fini... Les 1ers violons puis les seconds, les cuivres, les percussions et enfin la clarinette résonnèrent dans ma tête. Chantal suivit ma cadence infernale. Durant cet instant avec ma tante, nous formâmes un binôme comme si nos corps ne furent qu’un seul et même bloc. A vrai dire, je pilonnai le sublime corps de Chantal. Le terme n’est guère plaisant mais rend toute sa signification dans nos émotions du moment. Elle adorait ça, elle me murmura des mots crus que la morale me commande de ne point répéter. Notre boléro se termina comme un boléro se termine : en apothéose. Le corps de Chantal était en fusion. Je ne faisais que rentrer en elle en alternant quelques petites sorties. Je sentis son corps trembler, suer, respirer ou aspirer ma chaleur. Ma tante fut en pleine jouissance quand elle ressentit la foudre s’abattre dans mon corps. Sa jouissance fit place à un orgasme dévastateur. — Jean, je t’aime !!! Cria-t-elle. J’attrapai ses lèvres, sa bouche toute entière. Mes spasmes atteignirent leurs apogées. Trempée de sueur, je continuai néanmoins de baiser ma divine Chantal. — Tu aimes te faire baiser par moi ? — Ooooh Ouiii mon neveu !!! ...
«12...678...14»