1. Confession de jeunesse


    Datte: 29/11/2018, Catégories: ff, jeunes, école,

    Un bon repas et nous nous installons dans le salon pour parler de tout et de rien quand soudain, la discussion dérive sur le sexe et nos fantasmes. Patricia me demande le mien et je lui avoue que j’aimerais la voir faire l’amour avec une femme. Elle se met à rire et me dit : — Un fantasme pour toi seulement ! Je suis surpris et curieux de sa réponse : — Tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Patricia éclate de rire devant mon air étonné : — Faire l’amour est un bien grand mot, mais j’étais dans un pensionnat pour filles et une amie m’a fait découvrir les bisous et caresses entre nous. ********************* La curiosité faisait suite à ma surprise et Patricia enchaîne : — C’était un week-end. Laurence et moi étions les seules à ne pas rentrer dans nos familles que l’on voyait tous les quinze jours uniquement. Nous avions dix-huit ans toutes les deux, Laurence était aussi brune que je suis blonde et nous étions inséparables depuis le début de l’année scolaire. Après notre échec au bac, nos parents respectifs avaient choisi la pension pour, disaient-ils, nous donner toutes les chances de réussir. Minces toutes les deux, une poitrine moyenne et deux belles paires de fesses qui faisaient se retourner les garçons, quand nous étions ensemble à l’extérieur du pensionnat. Même si nos familles et amies nous manquaient, nous apprécions ces week-ends où Laurence et moi, nous nous retrouvions seules dans notre grand dortoir de huit lits. Le samedi était réservé à nos devoirs et leçons, ...
    ... afin d’en être débarrassées pour le dimanche. Nous devions être une dizaine de pensionnaires et prenions nos repas ensemble avec la seule et unique surveillante. Notre surveillante faisait preuve de vigilance, mais laissait les terminales relativement libres. Notre seule obligation était de rejoindre nos chambres après l’émission ou film du samedi soir et de ne pas discuter trop tardivement. Ce samedi, Laurence et moi n’avions pas envie de regarder la TV et avions rejoint notre chambre. Une bonne douche et le plaisir de discuter entre filles sur tous les sujets, vautrées chacune sur notre lit. Laurence était vêtue d’un haut de pyjama en satin jaune avec un short large assorti et moi d’une grande chemise en coton suffisamment longue pour la porter sans culotte. Et puis, on était entre filles ! Vers 23 heures, la surveillante passe son nez à la porte pour le bonsoir rituel et nous demande de ne pas veiller trop tard. Quelques minutes plus tard, la lumière éteinte, le sommeil nous cueille. Plus tard dans la nuit, le tonnerre, mêlé aux cris de Laurence, me réveille en sursaut en plein cœur d’un orage violent. Elle est affolée, car l’orage a entraîné une coupure de courant et nous sommes donc plongées dans l’obscurité la plus totale, ce qui fait angoisser mon amie. J’attrape ma lampe de poche et m’avance vers elle pour la calmer. Elle tremble de cette situation, m’avouant sa peur viscérale de l’orage. Je lui propose ma lampe, mais elle préfère que je vienne me coucher avec elle, ...
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