1. Confession de jeunesse


    Datte: 29/11/2018, Catégories: ff, jeunes, école,

    ... rencontre du plaisir. Son sexe ruisselle et je sens son clito gonfler sous mes doigts. Son corps se tend, sa bouche laisse échapper un long gémissement de plaisir. La jouissance qui la traverse est d’une grande intensité car je vois ses yeux se révulser. Je ne lui laisse pas de répit et accélère ma masturbation. Laurence, la bouche grande ouverte, semble chercher l’air pendant que son deuxième orgasme la traverse. La jouissance la rend encore plus belle et je ne me lasserais pas de la regarder dans ces moments-là. Nous nous enlaçons tendrement, nous sommes en sueur et nos parfums se mélangent. Nous nous embrassons tendrement, « je t’aime » me dit Laurence et nous nous endormons blotties l’une contre l’autre. Je suis la première réveillée et je contemple le corps endormi de Laurence. Elle est couchée sur le dos et je ne peux retenir l’attraction que son corps exerce sur moi. Ma bouche a envie d’elle. Je me glisse entre ses cuisses, ma bouche embrasse son ventre et descend rapidement vers son sexe pour en prendre possession, pendant que je glisse lentement un, puis deux doigts dans son vagin. Ma langue joue avec son clito que ma bouche aspire. La respiration de Laurence s’accélère et sa bouche laisse échapper des soupirs, puis des cris. Un délicieux réveil !!!!! J’ai envie de la faire jouir vite et fort, ma langue devient folle et mes doigts s’agitent rapidement en elle pendant que mon autre main masturbe mon sexe. Ses muscles se tétanisent, ses mains s’accrochent à mes ...
    ... cheveux. Je regarde Laurence jouir violemment sous mes caresses presque bestiales et la jouissance me traverse au même moment. Elle retombe épuisée, mais visiblement heureuse. Un bisou rapide et je repars dans mon lit, bientôt 8 heures 30, passage de la surveillante pour le réveil du dimanche. J’aimais Laurence, mes mains et ma bouche venaient de donner du plaisir à une fille pour la première fois de ma vie, j’étais heureuse et ne ressentais aucune honte à ce bonheur. Un dimanche banal avec seulement quelques caresses rapides sous la douche commune par crainte d’être surprises et quelques bisous fougueux dans notre chambre avant l’arrivée des premières pensionnaires, le dimanche en fin d’après-midi. Tous les quinze jours, la nuit du samedi au dimanche était notre nuit d’amour, nuit de nos orgasmes répétés, épuisant nos corps mais renforçant notre amour. Cet orage m’a permis de découvrir l’amour au féminin et avec le bac en poche, mon premier chagrin d’amour, quand Laurence m’annonça les larmes aux yeux qu’elle ne pourrait plus me voir l’année suivante. Muté pendant deux ans en Martinique, son père partait en famille. Nos larmes n’ont rien changé et je n’ai jamais revu Laurence. ***************** Le récit de Patricia me laissa sans voix, quatorze ans s’étaient écoulés, mais elle en parlait comme si c’était hier. Je décidai d’oublier ce fantasme, sachant qu’il pourrait mettre mon couple en péril. J’attirai Patricia par la main pour une nuit pleine d’amour et de tendresse. Un proverbe ...