Katherine et April
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... tout, retirant mes mains. Elle tourna la tête vers moi, le visage déformé par le plaisir… ainsi que la frustration. « Qu’est ce que tu fais ? » D’une main, je lui saisis les cheveux, et de l’autre, je lui attrapai les mains pour la tenir immobilisée. Je tirai sa tête en arrière, et me penchai sur elle pour pouvoir lui murmurer à l’oreille : « Tais toi, belle blonde. C’est moi qui décide comment je te baise, et quand je te fais jouir. J’ai décidé que t’aurais pas de nouvel orgasme tant que tu m’aurais pas suppliée, et appelée maîtresse. » « Tu rêves ! Je ferai jamais ça ! » « Alors tu jouiras pas. » Pour appuyer mes propos, je fis courir un doigt sur son clitoris, la faisant frémir doucement. Elle frissonna de plaisir, et je sentis sans peine sa frustration de ne pas en avoir plus. En tant que dominante, elle devait très bien connaître ce petit jeu, sans doute même qu’elle l’avait fait très souvent. Elle savait très bien que me supplier maintenant, et m’appeler maîtresse, serait admettre sa défaite, et ça, ça devait lui être insupportable. Mais après ce que je venais de lui faire, il était difficile de me résister pour elle. Je l’avais mise dans un état de plaisir insupportable, et maintenant, tout ce plaisir se transformait en frustration. Frustration que je devais entretenir. Tout en m’assurant qu’elle ne se rebellerait pas, je me penchai sur elle, et me mis à doucement effleurer l’entrée de son cul, puis son clitoris, puis son intimité, avec ma langue. April eut un ...
... nouveau frisson, et n’y tenant plus, elle me lança : « S’il te plaît, Katherine, fais moi jouir. » Elle cherchait à s’en tirer à bon compte. Je ne devais pas céder. « Supplie moi. Et appelle moi maîtresse. » Je donnais un puissant coup de langue sur son clitoris, et elle poussa un hurlement, plus de frustration que de plaisir. « Bordel ! Je t’en supplie ! Maîtresse je t’en supplie, fais moi jouir ! » Satisfaite, je me mis à la lécher avec plus d’entrain, frottant ma langue contre son intimité à fond, secouant son clito dans toutes les directions. April se tortillait, et gémissait. Je fis jouer de ma langue un bon moment, me délectant de l’entendre hurler, puis je décidai de changer de technique. Je la retournai, l’allongeant sur le dos, et insérai deux doigts dans anus, puis me mis à la limer avec vigueur, lui tirant les cheveux en arrière pour lui faire bien sentir qui était la patronne. Comme je la sentais sur le point de défaillir, je me mis à accélérer, et eus la satisfaction de l’entendre hurler, et de la voir vibrer. Tirant sur ses cheveux je lui murmurai à l’oreille : « Retiens bien la leçon, et ne cherche plus jamais à me résister, compris ? » April poussa un gémissement, car je venais de lui donner un coup de doigt plus marqué que les autres. Elle n’avait pas répondu cependant, aussi je tirai encore un grand coup sur ses cheveux pour lui lancer : « Alors ? J’ai pas entendu de réponses ? » « Oui, j’ai compris ! » « Oui qui ? » « Oui maîtresse ! » Frissonnante de plaisir, ...