1. Katherine et April


    Datte: 30/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... ravie de ma victoire, j’accélérai encore le rythme de mon doigtage, accélérant jusqu’à ce que dans grand cri et dans un grand frisson, April eut enfin son orgasme final. Je lui laissai quelques secondes pour se remettre, car elle était essoufflée et hors d’haleine. « Alors, ça te fait quoi d’avoir été mon jouet ? » Elle me jeta un regard vexé, mais en même temps, je voyais bien qu’elle avait pris énormément de plaisir. « Ceci dit, t’es pas super comme jouet, poursuivis-je, j’ai pas encore joui. » Avant qu’elle ait pu répliquer, je la plaquai sur le matelas, l’étalant sur le dos. Je vins au-dessus d’elle, et me mis à chevaucher ses seins, qui cette fois-ci étaient dénudés. Je me déhanchais sur ces magnifiques seins, les secouant de gauche à droite, profitant de leur grosseur, de leur rondeur et de leur fermeté pour me frotter vigoureusement contre eux, frissonnant de plaisir. April elle aussi, profitait de cet instant, gémissant de plaisir, me caressant les fesses doucement, tandis que celles-ci s’activaient encore et encore au-dessus de sa parfaite poitrine. Me frotter sur ses seins me faisait vibrer de plaisir, et je poussai des petits gémissements, tout en fermant les yeux et en me passant la main dans les cheveux. April me palpait les fesses, et c’était très bon, mais surtout, j’étais ravie de voir qu’elle ne cherchait pas à reprendre le dessus. Elle avait bel et bien accepté ma domination. Je me frottai contre ses seins aussi longtemps que je voulais, profitant à fond ...
    ... de ce 95D de folie, puis, quand je voulus jouir, je changeai de position. Je m’assis sur le bord du lit, et ordonnai à April : « Viens me lécher, viens me faire jouir. » Docilement, elle vint se mettre à genoux devant moi, et se mit à me lécher, tourbillonnant sa langue sur mon intimité, m’en donnant de grands coups sur mon clitoris, me faisant frissonner de plaisir. Je dirigeai ce cuni en la tenant par les cheveux, contrôlant le rythme et l’intensité au gré de mes envies. Très souvent, je tirai ses cheveux en arrière, pour l’obliger à me regarder. Je plantais mes yeux marrons dans ses yeux bleus, la toisant d’un air dominateur, et me réjouissais de voir en réponse son regard soumis. Je m’amusai ainsi à la diriger pendant un moment, la faisant accélérer, puis ralentir, me servant de sa chevelure comme d’une ficelle de marionnettes. Elle sentait ainsi bien qu’elle était en mon pouvoir. Au bout d’un moment, je voulus jouir, et je la tirai alors pour qu’elle vienne me lécher et lui fis comprendre qu’elle devait aller vite. April se mit à me dévorer l’intimité comme une folle, sa langue entrant en moi, me vrillant le clitoris, tourbillonnant, à fond. Le plaisir monta en moi en une vague brutale, je serrai les dents pour la contenir, tâchant d’en profiter un maximum, et serrai les cheveux d’April pour lui faire savoir qu’elle ne devait surtout pas s’arrêter. La langue d’April continuait de me malmener, encore et encore, et ce fut rapidement trop insupportable pour moi. J’eus un ...