1. The walking dead (2)


    Datte: 30/11/2018, Catégories: Divers,

    ... Paul dire que son petit dej’ avait un drôle de gout. J’ai alors couru et jeté son bol presque vide. — Paul, qui t’as fait ton petit dej ? — C’est Karl pourquoi ? Il l’a fait avec le sourire, j’ai trouvé ça curieux mais j’ai pensé que c’était parce que je participais plus. En entendant ça Jacky, fit le rapprochement et appela Karl. S’en suivi alors une grosse dispute entre les deux hommes au sujet de la présence du flacon de raticide. On aurait pu penser à une erreur jusqu’à ce que Paul ne se sente pas bien et tombe de sa chaise. Je l’ai alors emmené jusqu’au lavabo et mis mes doigts dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge pour qu’il vomisse. Pendant ce temps-là une violente bagarre avait éclaté entre Jacky et Karl et, visiblement, Karl, qui avait fini par avouer qu’il avait effectivement versé le raticide dans le bol, prenait le dessus. Jacky avait pris plusieurs coups dans la tête, semblait avoir mal au bras et était à moitié sonné. C’est là que Karl se pencha vers lui et lui dit : « désolé mon pote, on aurait pu se partager la fille. Maintenant je la baiserai tout seul ». Karl était en train d’étrangler Jacky et c’est là que, telle une starlette de télé-réalité bien connue que j’ai idolâtré fut un temps, j’ai attrapé un couteau et je l’ai poignardé dans le dos. Il lâcha immédiatement Jacky pour se tourner vers moi en titubant. « Espèce de petite traînée, je vais te ….. » Furent ses dernières paroles avant de s’écrouler par terre. Je me suis soudain souvenu de ce que Jacky ...
    ... avait dit sur les morts qui deviennent zombis. J’ai alors retiré le couteau, en causant au passage une grosse hémorragie, et après avoir pris ma respiration, je lui ai enfoncé dans le crâne. Je réalisais à peine ce que je venais de faire mais il y avait plus important : Paul. Il s’était fait empoisonner et il ne parvenait plus à vomir. Son seul espoir c’était un lavement d’estomac mais je ne savais pas comment faire. J’ai demandé à Jacky mais il était sonné. Je l’ai alors allongé sur le canapé et je lui ai donné à boire. Plus tard, quand il s’est réveillé, Jacky a pris la relève, il avait mal au bras et m’a dit ne pas avoir ce qu’il fallait pour un lavage d’estomac. Le mieux était de le faire boire par petite gorgé et de retenter de le faire vomir pour essayer d’évacuer ce qu’il avait mangé. Grâce à l’aide de Jacky, on était parvenu à le stabiliser, on l’a mis sous perfusion mais il était quand même mal. Je me retrouvais alors l’infirmière de ces deux hommes. A force de nombreuses disputes avec Paul, nos galipettes au lit étaient redescendues à Zéro ces derniers temps et quelque part ça me manquait de ne plus sentir la vigueur d’un homme me donnant du plaisir. C’est là que je me suis étonné à envisager quelque chose : Jacky. Il était grand, fort, plutôt musclé, une carrure de déménageur, avait des rudiments de médecine, savait se défendre et, ça je l’ai su en étant entré, par mégarde, dans la salle de pain alors qu’il était tout nu, il est plutôt bien monté. En tout cas plus ...
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