Vacances imprévues
Datte: 01/12/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
vacances,
campagne,
pénétratio,
... doit servir de lieu de vie. Elle l’a fait installer sur une chaise. — Déchausse-toi, mets-toi à l’aise. Je vais me nettoyer un peu. Elle ouvre une porte dans la cuisine, un escalier intérieur conduit au rez-de-chaussée. Bérengère en profite pour quitter chaussures et chaussettes. Elle a des ampoules au talon, à un gros orteil, sur le coté, bref les deux pieds sont en piteux état. Un moment après, Véro réapparaît. On dirait une autre femme. Elle a du se doucher, se peigner, porte une robe claire qui souligne une silhouette ma foi très agréable. — Qu’est-ce que tu as à me regarder comme ça, J’ai du noir sur la figure ou bien tu préfères les femmes…— Non, jamais de la vie, mais tu es drôlement belle, ta robe te va bien. Tu dois affoler les hommes !— Ouais, fous-toi de moi, tu fais quinze kilos de moins que moi, tu es fine, tu as de jolis petits nichons. Occupons-nous plutôt de tes pieds. Elle a dit cela d’un ton bougon, mais au fond d’elle-même elle se sent flattée. Elle examine les pieds, va chercher un baquet d’eau tiède et le place devant Bérengère. — On va faire comme dans l’ancien temps, d’abord les relaxer, trempe-les, puis on les soignera. Je vais chercher le nécessaire. Elle baigne ses pieds et ressent immédiatement une grande détente, pour un peu, fatiguée comme elle est, elle s’endormirait. Véro revient les mains chargées de pansements. Elle nettoie, panse les plaies, lui tend une paire d’espadrilles. — Va dans la salle de séjour, dans le fauteuil et repose-toi, ...
... tu en as besoin.— Mais je vais me rechausser et repartir.— Tu n’es pas un peu folle, tu ne pourras pas remettre tes souliers et puis tu ne ferais pas dix pas. Ici nous avons beaucoup de place, d’autant que nos enfants sont chez mes parents. Tu restes ce soir, nous verrons dans quel état tu seras demain matin. En attendant va t’installer dans un fauteuil, et tâche de te relaxer. Je vais préparer le repas. Marchant comme sur des œufs, Bébé va s’installer dans un fauteuil, face à la porte de la cuisine afin de pouvoir parler avec son hôte. Mais, elle est si bien que bientôt elle somnole, sa compagne s’affairant en chantonnant. Le bruit d’une porte la tire de son assoupissement. Il y a plus d’une heure qu’elle est là, en silence et elle est bien. Un homme d’une quarantaine d’année, torse nu, en short et sortant probablement de la douche entre dans la pièce. Il va derrière Véro, glisse les mains dans l’échancrure de sa robe et lui empaume les seins. — Laisse-moi tranquille, il y a… Elle n’a pas le temps d’en dire plus, il la fait pivoter et l’embrasse à pleine bouche. Elle essaie d’abord de se dégager, regarde en direction de la salle de séjour. Bébé a fermé les yeux, faisant semblant de dormir. Alors elle se laisse faire. Les paupières entrouvertes, la spectatrice ne perd pas une miette de la scène. Les mains masculines ont relevé la robe et palpent fermement les fesses. La femme se déplace, entraînant son compagnon hors de vue de Bébé. Elle n’a plus que le son, mais il est ...