La première fois
Datte: 21/06/2017,
Catégories:
ff,
ffh,
jeunes,
vacances,
piscine,
Lesbienne
fbi,
... ébats. Nous collons nos chattes l’une à l’autre, sexe contre sexe ; par un doux mouvement, nous nous branlons ainsi mutuellement. Il ne faut plus attendre très longtemps dans cette position pour atteindre le firmament. Nous explosons conjointement, une explosion de nos entrailles. Après cette irradiation, nous nous enlaçons tendrement. Nous nous endormons ainsi, dans les bras l’une de l’autre. Lorsque je me réveille, il fait nuit noire, pourtant la lampe du couloir est restée allumée et éclaire la chambre. J’ai l’idée de recueillir dans mon sexe un peu de mes sécrétions. Je passe ce doigt humide sous le nez de ma maîtresse alanguie. Ses narines palpitent et elle soupire. Alors je porte ma bouche à ses seins ; si je pouvais ainsi exciter ses beaux mamelons sans la réveiller. J’y vais tout en douceur, avec le bout de la langue, par petites touches. Les pointes s’érigent, la poitrine durcit et ma compagne gémit doucement. Je me dis que le sexe pourrait lui aussi subir le même traitement durant son sommeil. Ayant les jambes ouvertes, je ne trouve aucune barrière pour accéder à sa douce toison. Enfin je vais à la découverte de ses lèvres intimes qui se couvrent rapidement de cyprine. Mélanie m’avoua s’être réveillée alors que je m’occupais de son sexe, mais avait choisi de me faire croire qu’elle dormait encore, tant mes léchouilles étaient délicates et agréables. Elle ne voulait pas briser cette douce sensation. *** Les confessions de mon frère m’avaient, je l’avoue, quelque peu ...
... excitée, et je me disais que Mélanie avait, elle aussi, peut-être quelques histoires avec des filles. Elle m’avait dit qu’elle avait connu une femme fontaine, un peu comme moi, alors je n’étais pas la première, combien y en avait-il eu ? — Comment as-tu été initiée aux amours lesbiennes ? lui demandai-je un jour après un de nos tumultueux rapports.— La première fois ? C’est une drôle d’histoire. J’étais en internat où je m’étais fait une copine, Anne-Lise. Pour un grand week-end, à la belle saison, elle me proposa de venir chez elle :— Il y a une petite maison avec une piscine et mes parents ne seront pas là, nous serons vraiment tranquilles. On ne la voyait jamais avec des garçons, mais rien ne laissait supposer qu’elle aimait les filles. Pour moi c’était juste une copine, rien de plus. J’accepte donc son invitation histoire de faire une petite coupure dans l’année scolaire avant le dernier rush de l’examen. Nous arrivons dans sa propriété tard en soirée le mercredi. Il n’y a personne et après un petit repas improvisé nous allons nous coucher pour récupérer de la route. La maison comporte trois chambres : celle de ses parents, celle de son frère et la sienne avec deux lits. Nous allions donc dormir dans la même pièce. Le lendemain, je me lève la première, prépare le petit déjeuner. Elle vient me rejoindre dans la cuisine avec son pyjama en fine toile, les pans de la chemise tenus par deux boutons, laissant deviner les rondeurs de sa poitrine et le pantalon retenu à la taille ...