1. La première fois


    Datte: 21/06/2017, Catégories: ff, ffh, jeunes, vacances, piscine, Lesbienne fbi,

    ... personne d’autre que mon amie pour me voir, n’est pas dans ma culture. Donc pour le petit déjeuner, je mets un paréo pour dissimuler ma nudité, seule ma poitrine n’est pas voilée. Anne-Lise, elle, reste dans le plus simple appareil. Sa chatte rasée n’a plus rien de gênant ou de choquant pour moi. Donc nous sommes le vendredi. Durant la matinée nous nous reposons de la nuit torride que nous venons de passer. Un déjeuner accompagné d’un petit rosé bien frais nous remet en forme. Pour échapper à la chaleur du début d’après-midi, nous regagnons notre chambre au rez-de-chaussée, nous rabattons partiellement les volets et nous sommes repartis sur les terres de Lesbos. Là nous nous donnons mutuellement des caresses, je ne suis plus seulement passive, je reçois autant que je donne. L’une des nouvelles découvertes, c’est lorsque mon amie place son sexe tout contre le mien, nos lèvres vaginales sont en contact les unes avec les autres et nos clitoris se branlent mutuellement. L’excitation monte en nous et nous bougeons l’une contre l’autre de plus en plus rapidement. Une première jouissance nous emporte sans retenue. Abattues, nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre. Mais bien vite nos doigts inquisiteurs repartent à la découverte de l’autre, nos bouches collées l’une à l’autre, nous partageons des baisers à la fois sucrés et brûlants. C’est alors que je vis ce visage d’homme qui nous regardait derrières les volets. Je poussais un cri en me détachant d’Anne-Lise tout en ...
    ... essayant de cacher ma nudité. Je me sentais honteuse, prise en faute, découverte. Mon amante tourna la tête en direction du voyeur et lâcha : — Ah non, merde, qu’est-ce que tu fais là, toi ? Et à mon attention elle dit : — C’est mon frère ! Daniel. Il n’était pas prévu au programme lui.— Continuez, continuez, nous lança le mec sans se démonter, c’était divin de vous voir nous brouter ainsi… Anne-Lise sort pour parler à son frère. Il est arrivé à l’improviste et dans nos ébats nous n’avons pas entendu sa voiture se garer près de la maison. Il a vu une partie de nos jeux, mais ce qui dérange le plus Anne-Lise, c’est que son frère ne sait pas qu’elle est lesbienne. Elle réalise tout de suite qu’il va la faire chanter pour qu’il ne révèle pas à leurs parents ses penchants sexuels. Deux solutions s’offrent à nous lorsqu’elle revient : — Soit il joue les voyeurs discrets, soit il déballe tout à mes parents, et là je te dis pas la catastrophe. Catho-psychorigides comme ils sont, ils sont capables de me répudier, au minimum, je me retrouve à l’école chez les sœurs. J’ai échappé déjà de justesse à cet enfermement, je ne pourrais le supporter. Je t’en supplie, accepte de te donner un peu en spectacle. Je refuse un tel marché. Je suis déjà assez traumatisée par le seul fait de savoir qu’un homme m’a vue entièrement nue faisant l’amour à une autre femme. — J’ai déjà réussi à le dissuader de participer, de simplement nous voir ne coûte pas grand-chose… Elle présente de tels arguments, que je ...
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