Mon stage chez New Life
Datte: 01/12/2018,
Catégories:
fhhh,
fsoumise,
strip,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
humour,
... rencontre, les sentiments mutuels qui les lient. M’avoir cocufié pendant la cure ne la gêne évidemment en rien. Ça doit même être une douce revanche pour l’épouse « affectivement dépendante », tellement brisée par mes incartades et mes mensonges. Quant à la fin de la lettre, c’est un véritable festival : ils quittent Clermont-Ferrand pour « Punta Negra », sur la Costa del Sol, afin de s’aimer en toute tranquillité dans la garçonnière de l’autre con. Ça doit être là qu’il rapatrie ses conquêtes, les clientes en mal d’amour qui lui tombent toutes cuites entre les bras. Mais c’est dans ses dernières lignes que Nathalie m’assène le coup de grâce : Salope jusqu’au bout ! J’hésite entre lacérer sa putain de lettre et l’agonir d’injures sur son portable. Mais je suppose qu’elle doit filtrer ses appels… — Allez, faites pas cette tête-là ! Une de perdue, dix de retrouvées… surtout dans vot’ cas ! C’est une tête au carré que je vais lui faire à cet imbécile, s’il continue ! Et puis soudain, ce qu’il vient de dire me frappe de plein fouet. Si Nathalie me quitte, alors il n’est plus question de fidélité entre nous… Comment est-ce que mon conditionnement va réagir à ça ? -oOo- Mal, très mal je suis. Ça fait six mois maintenant que j’ai pas tiré mon coup. Impossible d’approcher une nana sans que ça finisse en syncope. Peux même plus me branler. C’est simple, dès que je touche ma bite, mon corps entre en éruption. Depuis mon passage chez New Life, ma vie sexuelle repose dans un coffre-fort ...
... inviolable dont seule Nathalie détient la clef ! Me voilà marqué à jamais par une fidélité épidermique à mon ex. Ce serait presque drôle si ce n’était pas aussi horrifique… Le conditionnement qui devait me détourner de l’adultère s’est transformé en véritable fixation ! Comme si mon esprit avait subi une altération indélébile, une sorte de « tatouage mental » me rendant allergique à toute présence intime autre que la sienne. J’ai menacé Gandalf et son psy de les traîner en justice s’ils ne me rendaient pas ma liberté d’action. Ils m’ont ri au nez, me rappelant que je m’étais engagé par écrit à ne pas les poursuivre en cas d’échec du traitement. Je les ai alors implorés de me tirer de là. Et voilà ce que m’a répondu le psy : — Nous pourrions tenter une imprégnation opposée, Patrick, vous « conditionner à l’infidélité » en quelque sorte… Sauf que votre cerveau ne le supporterait pas. Deux injonctions contradictoires s’affronteraient en permanence dans votre esprit, qui ne saurait laquelle suivre et finirait par disjoncter.— On ne peut pas tout simplement supprimer cette « programmation », un peu comme on reformate un disque dur ? Cet enfoiré avait ri à l’autre bout de la ligne. Il avait ri ! Comme si ce calvaire vécu par sa faute se résumait à une aimable plaisanterie ! — D’une part, votre cerveau n’est pas un disque dur. D’autre part, je ne pense pas que le reformater, comme vous dites, soit le meilleur moyen de restaurer son contenu antérieur… Cet échec ne me laissait plus le ...