1. Vingt ans après


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fh, grp, hbi, extraoffre, inconnu, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral 69, double, Partouze / Groupe

    ... mais t’es bel homme encore, pas de ventre.» Sa main courait sur ma poitrine, j’ai fermé les yeux, ma queue me faisait mal tellement elle était tendue. Elle y a posé la main avant de me demander: «Es-tu assez content de me voir pour envoyer au diable tout le monde et toutes tes affaires pendant deux semaines ? C’est tout le temps qui me reste. J’ai inscrit ma fille à l’université et elle est partie chez sa tante à Sète. Mais dans deux semaines, je devrai retourner en Afrique.» Pour toute réponse j’ai commencé à déboutonner son corsage. Elle n’avait pas changé: Elle n’a jamais pu supporter les vêtements. En quelques secondes elle s’est débarrassée de presque tout. Quand elle s’est tournée pour jeter ses fringues n’importe où, mon cœur battait un max: elle n’avait pas changé de corps non plus. Son string noir mettait en évidence la même superbe croupe de jument perchée sur des hanches et des jambes bien musclées. Pas la même gamine de vingt ans, mais le même ventre plat et nerveux, les petits seins un peu plus pleins, les mêmes pointes énormes, tendues. Sans ses talons, Annette a presque exactement ma taille, 1 m 80. On s’est collés téton contre téton, ventre contre ventre, autre long patin. Je n’en pouvais plus. J’ai fait mine de la soulever pour la porter. «Ah non, pas encore ! C’est que j’ai besoin de célébrer ça comme il faut, tu penses, après vingt ans.» «Qu’as-tu en tête ?» «Je n’arrive jamais à oublier le plaisir que j’ai eu quand nous baisions en public.» «Tu as bien ...
    ... raison. Moi non plus. Bon, on y va. Mais on a le temps jusqu’au soir.» «Alors jusqu’à ce soir, je te veux aussi excité que moi-même, chauffé à blanc. On va se toucher, s’embrasser, mais pas baiser. Sais-tu où aller ? Le vieux théâtre ?» «Non, ces théâtres ont fermé depuis belle lurette, mais il y a des clubs privés qui en font maintenant. Je vais téléphoner à Roland, tu te rappelles de lui, pour lui demander où aller.» Le reste de la journée s’est passé à nous raconter les peines et les joies de notre vie séparée, et surtout à nous toucher et nous embrasser. J’avais encore le numéro de Roland, qui avait été acteur porno dans sa jeunesse avec nous. Il était maintenant propriétaire d’un club privé qui organisait des spectacles «spéciaux», du côté de Pigalle. Il nous dit qu’il était plus qu’enchanté du retour d’Annette. «C’est de la dynamite, cette nana. Même si elle a trente ans de plus, je m’en fous, ce sera la gloire pour mon petit bizness. À neuf heures pile.» Il me vint une idée. Je savais ce qui excitait mon Annette. «Dis donc Roland, un vieux chnoque comme moi ne suffit pas pour un spectacle. Je suis sûr que tu as un homme jeune, discret, bien monté et garanti sans maladies ?» «Mais oui, j’ai juste ce qu’il faut. Jeune acteur toujours raide, un étudiant Sénégalais très poli. Ah mon cochon, c’est que tu ne t’embêtes pas avec Annette !» «C’est bon, fixe-lui un rendez-vous pour dîner avec nous» Annette, qui avait d’abord fait quelques signes de protestation, me dit: «Merci. Tu ...
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