Justine, Jérôme, Rex et la famille. (3)
Datte: 02/12/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Justine, Jérôme, Rex et la famille. Ch3. Nos jeux pervers. Après cette partie de cul avec notre mère, une grande complicité était née entre nous trois. Justine et moi nous sommes rendu compte que nous avions une réelle addiction pour le sexe et la perversion ; nous trouvions tous les prétextes et saisissions toutes les occasions pour passer « en mode sexe ». Nous nous inventions des jeux et des épreuves toutes plus folles les unes que les autres ; nos maîtres-mots étaient : bite, sexe, cul, baiser, chatte, moule, sucer, sperme... À la maison, à table, notre jeu favori consistait pour Justine à enlever le plus discrètement possible sa culotte pendant le repas. Pour ce faire, elle revêtait une minirobe, une minijupe ou un maxi tee-shirt. Elle se dandinait sur sa chaise pour arriver à faire glisser le sous-vêtement au sol et le faire disparaitre sans éveiller les soupçons de nos parents, mais surtout de papa. Une fois la culotte retirée, je m’amusais à lui caresser la minette de façon à l’exciter ; moi, je bandais comme un diable. Elle passait sa main dans mon caleçon – quand j’en avais un – et me malaxait les couilles et la bite de façon à obtenir une belle érection puis me branlait lentement, parfois jusqu’à l’éjaculation. Faire ce genre d’exercice le plus discrètement possible n’était pas chose aisée, mais avec de l’entraînement nous y arrivions, surtout que nous avions un allié : la télé allumée pendant le repas distrayait nos parents. Nous avons bien failli nous faire ...
... piquer plus d’une fois, ce qui rendait le jeu encore plus excitant. La maison de nos parents – qu’ils habitent toujours – donne sur une rue un peu passante, de ce côté : une allée permet d’accéder au garage, une haie très basse en clôture laisse voir le jardin d’agrément orné de massifs de fleurs et d’arbres. À l’arrière de la maison, hormis le jardin potager, il y a une belle terrasse avec piscine et une cuisine d’été. Nos parents étaient souvent absents le soir et le week-end ; maman avait retrouvé un travail, et papa était souvent en déplacement. Nous restions seuls ; nous pouvions donc nous adonner à notre passe-temps favori : le cul ! Un jour, alors que nos parents étaient partis le week-end complet pour rendre visite à la famille, peu friands de ce genre d’activité (les visites chez les oncles, tantes, cousins et cousines un peu coincés n’est pas notre tasse de thé), pour ne pas y aller nous avons prétexté préférer aller voir des copains. En réalité, nous somme restés à la maison pour pratiquer notre sport favori. Le jeu que nous avions prévu était simple : je devais garder une érection et Justine une excitation quasi permanente, mais sans arriver à l’orgasme. Pour ce faire, je devais me caresser dès que mon érection faiblissait. À chaque fois que l’un se caressait, l’autre devait en faire autant, envie ou pas ; le premier qui arrivait à l’orgasme devenait l’esclave de l’autre et devait réaliser tous ses caprices. Dès que nous fûmes seuls, nous sommes passés à l’action : en ...