Justine, Jérôme, Rex et la famille. (3)
Datte: 02/12/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... en plus forts, me procuraient un plaisir assez étrange mais sublime. J’avais les fesses en feu. Les coups et le frottement de ma bite contre l’arbre me donnaient à nouveau envie de jouir, mais Justine s’arrêta et me détacha. — Allonge-toi sur le sol ! Je m’exécutai, allongé sur le dos à même le sol. Les branches, les racines proéminentes, les cailloux me meurtrissaient les fesses et le dos ; les bras le long du corps, docile j’attendis la suite. Elle sa plaça au-dessus de moi, un pied de chaque côté de mes hanches, s’accroupit et vint s’empaler sur ma bite sans dire un mot. Elle m’attrapa par les tétons qu’elle tordit dans tous les sens ; mon sexe était son gode qu’elle enfonçait au plus profond d’elle. Elle se mit à onduler, à gémi puis, les mains dans les cheveux, elle fut prise de spasmes. Ceux du bonheur ; ils furent longs et intenses. Elle s’allongea sur moi, ôta mon bâillon, m’embrassa avec fougue puis elle se retira. Elle emboucha mon membre, se lança dans une fellation hors norme. Je n’en pouvais plus... Je sentis le picotement dans mes couilles, signe annonciateur d’une éjaculation imminente. Je me crispai pour mieux retenir mon flux, puis lorsque je ne pus plus me retenir, je lâchai tout dans la bouche de ma sœur. Je l’entendis sucer, aspirer en me broyant les testicules avec ses mains. Elle se releva et me regarda, la bouche grande ouverte ; sa langue jouait avec mon liquide qui commençait à couler sur ses seins, puis elle déglutit et passa sa langue sur ses ...
... lèvres avec délectation. — Tu as été très bien, frérot, me dit-elle en se rhabillant et en replaçant le bâillon dans ma bouche. Comme réponse je lui rendis un large sourire et j’acquiesçai de la tête. Elle prit une extrémité de la corde qui avait servi à m’attacher, fit le tour de mes couilles puis un nœud. Avec l’autre bout elle m’attacha les mains, fit passer la corde dans sa main et tira. — En route ! On rentre ! s’exclama-t-elle. C’est alors que l’expression « tenir un mec par les couilles » prit tout à coup tout son sens : j’étais contraint et forcé de la suivre sur le chemin rocailleux. Parfois elle marchait, mais de temps en temps elle se mettait à courir, ce qui avait pour effet de tirer sur mon matos et de me procurer quelques douleurs. J’ai donc fait tout le trajet du retour à poil, les mains attachées, les couilles ficelées ; ma seule hantise était de croiser quelqu’un sur le chemin. Fort heureusement, nous ne rencontrâmes personne. Une fois rentrés, Justine s’est occupée de m’enduire les fesses de crème tout en me questionnant : — Alors, tu as apprécié ? — C’était trop bien ; on recommence quand tu veux ! lui répondis-je avec enthousiasme. — D’accord, mais la prochaine fois tu prendras ma place et moi la tienne. — Tu es folle ! Je ne vais pas te frapper... — Si, je le veux. Moi aussi je veux connaître ce plaisir. Si tu refuses, nous ne ferons plus jamais rien ensemble ! Alors ? Je ne pouvais pas refuser : me priver de cul n’était pas pensable. J’ai donc accepté. — Il ...