Petit diable !
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
... changer les idées. Comme pour tous les films du genre, le scénario était à peu près inexistant et après moins de cinq minutes l’héroïne, une superbe blonde et son héros, un beau mec sportif, étaient déjà en train de baiser. Immanquablement, ces images excitèrent vite Agnès et son mari. Quand ce dernier glissa la main sous sa robe, remontant entre ses cuisses, elle éprouva soudain un très violent désir. Au moment où la blonde, à califourchon sur son athlète, se déhanchait et râlait de plaisir, Agnès sentit les doigts de son mari investir sa chatte. Puis on vit un gros plan sur le visage du sportif et là, Agnès eut un choc : elle crut voir Antoine. Alors tout se mélangea dans son esprit embrumé par l’excitation : elle vit son mari baiser la superbe blonde, tandis qu’elle sentit les doigts d’Antoine fouiller son intimité et qu’elle se vit empoigner la superbe verge de l’athlète. Elle ferma les yeux et se persuada que c’étaient bien les doigts d’Antoine qui exploraient sa chatte et que c’était bien la bite du beau mec qu’elle masturbait. Ces fantasmes se traduisirent par un orgasme fulgurant et tout son corps se tendit vers ces doigts inquisiteurs. Ils ne virent pas la fin du film. Agnès éteignit la télé et ils foncèrent dans la chambre. Mais lorsque, dans l’obscurité de la pièce, son mari la pénétra, elle revit les beaux yeux noirs d’Antoine, et là encore, elle imagina la verge de son jeune comptable emplissant totalement son intimité. Le lendemain dimanche ne fut pas plus ...
... serein. Comme une obsession envahissante, Antoine revenait inlassablement occuper ses pensées. Elle n’avait plus qu’une idée : se retrouver auprès de Lui. Lundi, sixième jour : elle craque ! Ce lundi matin, après ce week-end interminable, ponctué de désirs inassouvis, Agnès ressentit à nouveau un besoin vital de séduire, voire de provoquer. Fini le pantalon ! D’ailleurs, selon les prévisions météo, la journée s’annonçait très chaude. Elle décida donc de mettre l’une de ses petites robes de vacances. Une robe blanche, courte et très légère, qui laissait les épaules nues. Son mari s’étonna de cette tenue qu’il trouva un peu « limite » pour se rendre au bureau : — C’est un peu olé olé, tu ne trouves pas ?— Écoute mon chéri, s’agaça-t-telle, c’est l’été, il va faire chaud, les vacances approchent, alors j’ai envie d’un peu de fantaisie !— Comme tu voudras… Mais ça va me rendre jaloux !— Jaloux de qui ? s’étonna-t-elle soudain. Son mari soupçonnerait-il quelque chose ? songea-t-elle un peu inquiète… — De tes collègues de boulot, pardi ! Moi je n’ai pas la chance d’avoir une directrice-adjointe aussi sexy que ça, s’exclama-t-il en la saisissant par la fesse !— Tu es bête, lui dit-elle, rassurée sur ses soupçons, tout en lui faisant une bise sur la joue ! Une fois son mari parti, elle alla se regarder dans la glace. Il avait semé le doute dans son esprit : sa petite robe était-elle si provocante ? Le décolleté, bien que large, restait sage et couvrait bien sa poitrine. Mais, se penchant ...