1. Petit diable !


    Datte: 04/12/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio,

    ... en avant, elle constata que, dans cette position, sa robe ne cachait plus rien. Elle se dit qu’elle pourrait en tirer avantage, mais qu’elle devra aussi faire attention, surtout avec son vieux cochon libidineux de patron ! Puis elle tourna sur elle-même afin de mieux juger de l’effet que produisait l’ensemble. Elle admit que cette robe était vraiment courte : peut-être quinze centimètres au-dessus du genou, mais elle assuma. Tant pis si elle faisait baver le « vieux libidineux », se dit-elle ! — Bonjour Antoine. Vous allez bien ? Antoine, déjà assis à son bureau, n’avait pas vu entrer sa patronne. Il se leva d’un bond pour la saluer, mais à sa vue, son regard se figea d’un coup. Dans sa légère robe blanche, la belle Agnès arborait un large sourire. Son décolleté laissait voir la peau claire de ses épaules et mettait délicatement en valeur une poitrine bien saillante, tandis qu’un grand collier fantaisie rehaussait le tout d’un rouge carmin assorti à ses lèvres. Sa courte robe découvrait généreusement ses longues jambes dont le galbe était souligné par de fins escarpins noirs. Antoine, médusé par la beauté de cette apparition, quasi irréelle, en fut muet de stupeur. — Eh bien… ? Ça va, Antoine ? s’inquiéta Agnès voyant son élève comme tétanisé.— Vous êtes… éblouissante, finit-il par prononcer ! Elle fut très flattée du compliment, mais surtout heureuse de constater que sa robe faisait son petit effet. Son choix était donc le bon ! — Merci, c’est gentil, répondit-elle. ...
    ... Dévorant toujours des yeux sa pétillante patronne, il fut soudain inspiré : — Vous êtes… comme une rose qui se serait tout à coup ouverte dans un jardin triste…— Oooh, comme c’est charmant, fit-elle, touchée par tant d’attention ! Puis elle reprit, espiègle : — Vous êtes drôlement poète ce matin ! Vous avez révisé ça tout le week-end ?— Vous êtes si belle !— Bon, bon… Remettez-vous, Antoine, conclut-elle en faisant le tour de son bureau. Allez ! Au boulot, maintenant ! Elle s’installa, alluma son ordinateur, puis leva les yeux sur Antoine qui était encore sous le coup de l’émotion. Ravie de son petit effet, elle avait la conviction que le beau jeune homme aux yeux noirs était bel et bien tombé dans ses griffes de tigresse. Il serait désormais à sa merci ! Mais, que m’arrive-t-il ? se dit-elle tout à coup reprise de remords. Voilà qu’au seuil de la quarantaine, la bonne épouse qu’elle avait toujours été, la mère de famille bien rangée, était soudain devenue une véritable prédatrice prête à tout pour séduire. Tout cela pour les beaux yeux d’un jeunot, tout juste sorti de l’adolescence ! Pourtant, elle n’y pouvait rien ! Son attirance pour cet homme était si forte que rien ni personne n’aurait pu lutter contre, aussi capitulait-elle. Fallait-il qu’elle l’eût dans la peau pour se comporter ainsi, comme une gourgandine sans scrupules, une écervelée inconsciente ? Levant de nouveau les yeux sur Antoine, elle constata que son regard était déjà rivé sur ses jambes. Elle crut en ressentir la ...
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