Petit diable !
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
... Les archives étaient au sous-sol, personne n’y mettait jamais les pieds et de plus, elle était la seule avec le gardien à en détenir la clé. C’était le seul endroit où elle serait sûre de ne pas être dérangée. Elle pourra donc tranquillement user de tous ses charmes afin d’exciter « son » Antoine jusqu’à le rendre fou de désir ! Elle trouverait bien un prétexte pour l’attirer dans ce « lieu de perdition » ; elle avait justement, depuis longtemps, quelques vieux dossiers obsolètes à archiver. Ni une, ni deux, de retour de déjeuner, elle chargea aussitôt un chariot des dossiers à débarrasser et demanda à son jeune comptable de l’accompagner. Tout heureux de quitter son écran d’ordinateur, il s’empressa de suivre innocemment sa patronne, sans se douter le moins du monde de ce qui l’attendait. Les archives étaient une grande pièce encombrée de dizaines de rangées d’étagères métalliques lourdement chargées de leurs dossiers en carton soigneusement étiquetés. Comme si elle eut connu par cœur la disposition des lieux, elle se rendit tout de suite à l’endroit où devaient être rangés ces vieux dossiers. — C’est là, dit-elle à l’adresse d’Antoine qui l’avait suivie entre les rangées en poussant le chariot. Il faut les mettre là-haut, ajoute-t-elle en désignant une étagère à moitié vide située tout en haut. Regardez par là, il doit y avoir un escabeau. En effet, Antoine revint une minute plus tard avec un grand escabeau en aluminium. — Vous voyez, ces cartons bleus ? C’est là, à la ...
... suite, qu’il faut mettre nos dossiers… Je vous laisse monter. Antoine avait eu, à un moment, le fol espoir de voir sa patronne monter elle-même à l’escabeau, mais il ne fallait tout de même pas rêver ! Il monta de quatre marches afin d’être à la bonne hauteur, puis se retourna : — C’est bon, je suis prêt, fit-il l’air tout à coup enjoué. Il venait en effet de réaliser que sa position élevée lui donnait une vue imprenable sur le décolleté de sa patronne. Celle-ci n’y prêta aucune attention et lui passa le premier dossier.— Voulez-vous que je vous tienne, lui proposa-t-elle.— Inutile. J’ai l’habitude, répondit-il sans réfléchir aux avantages qu’il aurait pu tirer de la situation.— Je préfère. Je ne voudrais pas que vous vous rompiez le cou après seulement une semaine de travail chez nous ! Au moment où il glissait le dossier au fond de l’étagère, il sentit se poser sur sa cuisse gauche, une main dont la chaleur lui procura une indicible sensation. Puis l’instant d’après, il sentit l’autre main se poser sur l’intérieur de la même cuisse et la sensation se mua alors en pur plaisir. Il se retourna, prit le temps de plonger son regard dans le décolleté, puis demanda le dossier suivant. Au regard insistant d’Antoine, elle prit tout à coup conscience que son décolleté, qui s’était ouvert à force de manipuler des cartons, devait lui offrir la vue de ses seins. Ravie de cette situation, elle ne chercha nullement à les cacher, bien au contraire. Antoine rangeait le deuxième dossier lorsque ...