Petit diable !
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
... plus ; il lui fallait quelque chose de fort et elle se masturba frénétiquement, comme elle ne l’avait encore jamais fait, en pensant à lui. Elle ne fut pas longue à jouir et elle dut faire un effort surhumain pour ne pas crier son plaisir. Reprenant ses esprits, elle se ressaisit et se dit :Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Je suis devenue folle ! Elle ne se reconnaissait plus et se dit que, pour en arriver là, ce diable d’Antoine avait dû littéralement l’envoûter ! Elle se rendit compte que sa petite culotte était tellement trempée qu’il n’était même plus envisageable de la garder. Elle l’enleva donc et ressortit des toilettes en cachant, bien serrée dans la main, le témoin de sa jouissance. Manque de chance, alors qu’elle espérait ne rencontrer personne, elle n’avait pas fait trois pas dans le couloir, qu’elle croisa Robert, le chef-magasinier, qui la regarda d’une façon étrange. — Bonjour Agnès, dit-il en la balayant du regard jusqu’au bas de sa robe. Elle se sentit soudain toute honteuse, persuadée à cet instant que Robert la savait nue sous sa robe, et elle se mit à rougir aussi stupidement qu’une collégienne. Jamais auparavant elle ne s’était baladée nue sous sa robe. L’idée ne lui serait même pas venue ! Cela lui procurait de curieuses sensations : elle trouvait très agréable de sentir la douce caresse de l’air frais sur son sexe et en même temps, comme si elle s’était lancé un défi, elle jouissait du pur plaisir de braver une sorte d’interdit. En tant que femme, elle ...
... réalisait à quel point l’absence d’un accessoire aussi insignifiant pouvait mener à un sentiment de vulnérabilité inspiré par l’indicible impression de se promener complètement nue. Et c’était encore plus vrai lorsque le regard d’un homme se posait sur elle, alors elle se sentait si fragile, sans défense ! Quand elle rentra dans le bureau, Antoine tapotait à son clavier. Se rasseyant en face de lui, elle fut vite en proie à un trouble étrange à la seule pensée que le jeune homme pouvait découvrir son intimité à tout moment. L’occasion ne fut d’ailleurs pas longue à venir : le stylo d’Antoine chuta malencontreusement et roula opportunément jusque sous le bureau de sa patronne. Quand, venant le récupérer, il s’accroupit, sa tête disparaissant sous le bureau, elle ne put s’empêcher de croiser, puis de décroiser ses jambes prenant le risque insensé de tout lui montrer. Mais à cet instant, elle n’en avait cure ! Il se releva triomphant, le stylo à la main et ne fit aucun commentaire. Avait-il vu ? Dans l’état d’esprit où elle se trouvait, peu lui importait. Elle voulait « son » bel Antoine avant le soir et elle ferait tout pour ça ! Mais comment allait-elle s’y prendre ? Sa position hiérarchique dans l’entreprise lui imposait une attitude irréprochable. Pas question de les découvrir, Antoine et elle, dans une situation équivoque ! Discrétion, discrétion ! Pendant le repas de midi, alors qu’elle réfléchissait à la meilleure stratégie, il lui vint une idée machiavélique : les archives ! ...