Petit diable !
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
... du « vieux libidineux » au regard déshabilleur ! Lundi, premier jour Dès huit heures quinze, Agnès était à son bureau, prête à recevoir le nouveau comptable. Elle avait attendu ce moment avec impatience. Elle y avait pensé tout le week-end, se repassant comme un film obsédant l’image des beaux yeux noirs du jeune homme. Ce matin-là, elle avait soigné son maquillage un peu plus que d’habitude, ses paupières étaient mieux ombrées, ses joues étaient mieux poudrées et son rouge à lèvres plus éclatant. — Tu es très belle ce matin, ma chérie, lui avait dit son mari au moment de partir, après l’avoir embrassée. Flattée de cette remarque, elle se rendit au travail le cœur plus léger. En fait, elle se sentait aussi heureuse que si elle allait déjà à un rendez-vous d’amour. Le comptable arriva à l’heure exacte. — Bonjour madame.— Bonjour, Antoine, répondit Agnès en lui tendant la main… Déjà là ? Encore une fois, les beaux yeux de l’homme la firent frissonner. Elle se dit qu’il y avait quelque chose de diabolique dans son regard. Elle se dit aussi que peu de femmes devaient y résister et que ce sacripant devait collectionner les conquêtes féminines. Elle l’installa au bureau en face du sien : une simple table sur laquelle on avait récemment branché un ordinateur pour le nouveau venu. Durant cette première journée, le nouveau comptable se familiarisa seul avec les fonctions élémentaires des différents logiciels maison, tandis qu’Agnès préparait la comptabilité de fin de mois. De temps en ...
... temps, il sollicitait son aide : — Excusez-moi madame, mais je n’arrive pas à quitter l’écran des actifs d’usine.— Une minute. Je viens à votre secours. Puis elle reprit : — Vous savez, on s’appelle tous par notre prénom dans l’entreprise, alors appelez-moi Agnès et je vous appellerai Antoine. Ce sera plus facile.— Bien madame.— Agnès !— Euh pardon… Bien Agnès, finit-il par dire, non sans difficulté, car la future directrice-adjointe l’intimidait beaucoup. De temps en temps, Agnès observait son employé à la dérobée. Plus d’une fois, elle le surprit alors qu’il avait les yeux fixés sur ses jambes ; c’était un regard furtif et discret, mais cela arrivait souvent. Elle s’amusait alors de sa gêne quand, pris sur le fait, il faisait semblant de rien et fuyait le regard de sa patronne. Une fois même, il fit tomber un stylo et elle fut persuadée que cela n’avait rien de fortuit. Elle le vit se pencher pour récupérer l’objet et sa tête disparaître complètement sous son bureau.Le petit cochon, pensa-t-elle !Il me mate par en dessous ! Ces situations l’amusaient et échauffaient ses sens en même temps. Ainsi observée, Agnès se sentait belle et désirable. Elle se dit que, sans nul doute, le bel Antoine n’était pas insensible à son charme. Elle se sentit femme fatale, séductrice. Elle joua alors avec ses jambes, les croisant et les décroisant, faisant entendre le crissement léger de ses collants dans le silence du bureau. La journée se poursuivit ainsi, dans cette atmosphère teintée d’un ...