Petit diable !
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
... érotisme sobre, mais néanmoins bien présent. Mardi, deuxième jour Le lendemain, Agnès commença la formation de son apprenti. Pour se faire, ils devaient travailler tous deux sur le même écran, par conséquent elle fit rouler son fauteuil jusqu’aux côtés du jeune homme. Cette promiscuité lui provoqua des sensations étranges et plus d’une fois, elle sentit son cœur battre. Quand par exemple, voulant prendre le contrôle de l’écran, sa main frôla subrepticement celle du jeune homme sur le clavier, ou, quand décroisant les jambes, elle fit involontairement du pied à son élève. Ces contacts furtifs ne déplaisaient pas à Agnès, mais ils gênaient confusément le jeune homme. Sans pitié pour lui, elle se fit plus séductrice encore : croisant les jambes, elle tira discrètement sur sa jupe jusqu’à découvrir la moitié de ses cuisses. Antoine ne tarda pas à s’apercevoir de ce qu’elle offrait à sa vue et il en fut particulièrement troublé. Elle s’en amusa et continua ses explications comme si de rien n’était. Ce matin-là, elle avait revêtu une jupe un peu plus courte, rien que pour lui. Immanquablement, quand elle croisait les jambes, cette diabolique petite jupe remontait plus encore. Antoine vit son trouble croître brutalement à la vue des jolies cuisses de sa patronne, si proches de lui, à portée de sa main. Mais Agnès, ne comptant pas s’arrêter là, alla plus loin dans la provocation. Au retour du repas de midi, elle passa aux toilettes afin de retoucher son maquillage. Puis elle eut ...
... l’idée de défaire un bouton de son chemisier et se tourna de côté pour voir l’effet produit. Trouvant que cela n’était pas suffisant, elle enleva un deuxième bouton. Cette fois, on apercevait bien le soutien-gorge à dentelles ainsi que le sillon entre ses seins. Elle en fut très satisfaite et retourna au bureau où Antoine l’attendait déjà. Elle s’assit à ses côtés et reprit sa formation. Quand Antoine se tourna vers elle et se rendit compte du chemisier ouvert, son regard fut attiré irrésistiblement par ce décolleté offert et il ne semblait plus écouter. — Regardez-moi dans les yeux, Antoine, lui fit-elle un sourire rayonnant aux lèvres !— Pardon madame, bredouilla-t-il, rouge de confusion.— Agnès, le reprit-elle !— Euh… Agnès ! Elle fut contente de son effet. Elle l’avait déstabilisé complètement et le pauvre ne savait plus où il en était. — Je peux continuer ? fit-elle toujours avec son sourire coquin.— Euh oui, madame… Euh, Agnès !— Bien. Après ce petit incident, il n’osa plus plonger le regard dans le décolleté de sa patronne et pourtant, ce n’est pas l’envie qui lui manquait. Il ne risqua plus que de petits coups d’œil furtifs sur les cuisses un peu trop découvertes. Le soir venu, Antoine était épuisé par toutes ces émotions qui n’avaient fait qu’exacerber sa libido. Agnès, elle, avait passé une délicieuse journée à exposer ses charmes au jeune homme et à s’amuser des réactions gênées qu’elle avait provoquées chez lui. Mercredi, troisième jour Le troisième jour de formation ...