Perdre pied
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
ff,
fhh,
2couples,
couplus,
cocus,
vacances,
bain,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
... souhaité répondre ? — Mais vous n’êtes pas obligés de faire comme nous et d’attendre pour recommencer ! Tout le monde rit de la remarque de cette Léa, qui manifestement cache un tempérament de feu. Un tempérament de feu, c’est peu dire alors que cette femme, se plaignant d’une chaleur devenue soudainement insupportable, plonge sa main dans le seau à champagne pour en retirer un glaçon. Mais ce glaçon n’est pas destiné à sa bouche car elle l’utilise pour se le passer sur le corps. — Mumm, c’est rafraîchissant… confesse-t-elle alors qu’elle passe ce glaçon autour d’un téton, puis de l’autre. Elle monopolise notre attention. Martine, allongée juste à côté, tourne la tête ; elle est aux premières loges pour voir les traces humides que laisse le glaçon en fondant. Un autre est prélevé dans le seau et prend la suite de son confrère. Il est indéniable que ces gestes excitent la femme. Ses tétons pointent, et maintenant le glaçon joue avec eux. C’est extrêmement troublant de naturel. — Tu ne veux pas essayer ? demande sans avertissement Léa à ma femme. Martine n’a pas le temps – mais en avait-elle envie ? – de répondre que Léa, piochant un nouveau glaçon, commence à le poser sur mon épouse. — C’est froid ! C’est sa seule parole. Pas de « Non », pas de « Que fais-tu ? » de protestation. Au contraire, elle reprend sa position sur le matelas et observe sa voisine procéder. Quelques secondes de ce jeu, une source de froid renouvelée, et : — C’est bon, hein ? demande cette perfide Léa.— ...
... Oh oui! C’est à la fois frais et chaud.— Attends, c’est encore meilleur là. Léa fait descendre la glace vers le nombril, nombril qui devient presque aussitôt une vasque remplie, mais nombril aussitôt abandonné pour que la trace humide montre la progression, plus bas, sur le pubis, vers la fente. Martine est comme moi, scotchée par cette approche. Elle ne bouge pas lorsqu’une nouvelle fraîcheur est dirigée sans pudeur sur ses lèvres intimes. Elle regarde, comme si c’était normal. Mais ce traitement ne la laisse pas indifférente et je devine à son visage que la caresse la trouble. — Oh, qu’il est mignon… Marc comme moi, qui sommes en face, savons de quoi elle parle : la coquine essaie d’éteindre un feu pour en allumer un autre. Elle glace le petit bouton de ma femme. À ce stade, ce n’est plus un rafraîchissement offert, mais de vraies caresses. La coquine est en train de jouer avec ma femme et de l’exciter. Après le mari, l’épouse. Décidément, quelle femme ! Mais si cela ne dérange pas mon épouse, moi, cela me va. À la condition qu’on ne me demande pas de jouer avec le copain : les mecs, c’est pas mon truc. Mais la friponne attrape plusieurs cubes givrés pour les mettre dans sa bouche. Et la voici qui se glisse entre les cuisses de Martine, des cuisses qui ne se referment pas pudiquement. Nous devinons plus que nous voyons où les lèvres dirigent les cubes de glace. En tout cas, lorsqu’elle relève la tête, les glaçons ont disparu. À voir la tête de Martine, l’effet de ces glaçons ...