1. L'Île de Marana Chapitre 12


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... faudra que tu connaisses bien tout avant de retourner chez toi. — Je ne peux pas rester ici? Demandé-je. — Oui, bientôt. C'est ce que nous voulions, mais les déesses ont voulu que tu retournes chez toi pendant la préparation. Rien ne peut t'arriver, mais tu seras discret. Lorsque nous serons prêtes à conquérir le monde, nous viendrons te chercher pour te mettre à l'abri, ici sur Marana. Maintenant, allons nous coucher, tu vas passer la nuit dans la tente de Vanah. La grande noire me sourit et empoigne mon sexe. Elle me tire sur ses genoux sans que je ne puisse rien faire et me place à l'envers, ma tête entre ses cuisses. — Commence déjà ici. Sa tunique est écartée et j'ai accès à son sexe, prêt à recevoir des caresses buccales. Elle serre ses cuisses dès que je suis en position et continue de parler avec ses amies. Elle me serre bien contre elle et mes fesses se retrouve sous ses gros seins. Je m'applique dans cette position inconfortable. Elle ne veut pas marquer son plaisir, mais je ressens sa jouissance. D'ailleurs, elle me retire tout de suite et m'assied sur ses genoux. — Pas mal petit mâle. Tu veux que je te branle? Sa question me surprend, et m'embarrasse. — Alors? Me secoue-t-elle. Réponds! — Oui, ...
    ... parviens-je à répondre d'une petite voix. — Et bien ose le dire, esclave. Tu as de la chance, non? Tu as toutes ces femmes pour toi tout seul! Elles rient, et je me sens encore plus ridicule alors qu'elle m'installe sur ses genoux et me masturbe tout en continuant de parler aux autres. Je me sens si con ainsi traité, mais cela n'empêche le résultat, sans y faire attention, Vanah continue plusieurs fois de me vider. Alors seulement elle me dépose sur le sol. — Va dans ma tente, m'ordonne-t-elle, et couche toi. Je te rejoins. Il peut faire frais la nuit, tu auras besoin de ma chaleur corporelle. Je m'étends sur sa couche moelleuse. Je me sens si triste et désemparé tout à coup, le comportement de Vanah me montre vraiment ce que je suis, et la considération qu'elles ont pour moi. Une larme coule sur mes joues. — Ne te laisse pas abattre, dit la voix de la déesse dans ma tête, tout est apprentissage, ton chemin ne sera pas ce que tu veux tous les jours, toutes mes filles ne sont pas dingues des mâles, surtout dans le Nord. Mais tu dois persister, pense que moi je t'aime et te protège. — Oui Déesse, réponds-je tout bas. — Je veille sur toi, personne ne pourra te faire du mal. Dors bien, mon bel esclave. Je m'endors tout de suite. 
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