1. Quitte et double


    Datte: 08/08/2017, Catégories: 2couples, fbi, hotel, Oral double, Partouze / Groupe yeuxbandés,

    ... Enfin, elle ne fait pas que regarder ; elle participe.— Oh, putain de merde ! Si je m’attendais à ça… Et ça te plaît ?— Oui, ça me plaît. La première fois, j’étais un peu réticente ; mais je t’assure que j’ai pris un plaisir inouï. C’est dingue.— Tu veux dire que tu as joui plus fort qu’avec moi ?— Je suis désolée, Alain : oui, plus fort. Ça n’a même rien à voir.— À chaque fois ?— Oui, à chaque fois c’est un choc. Quand Blanche m’annonce une visite, je suis tellement excitée que je ne peux plus bosser de la journée.— Tu mouillais aussi en pensant à moi ?— Oui. Des fois. Mais là, c’est énorme. Je dégouline toute la journée. Et on arrête là, s’il te plaît ; je t’en ai trop dit. Ça doit te faire du mal.— Du mal ? Tu crois ? Mais je suis anéanti, oui ! Putain, j’ai hâte de la voir, ta gouine !— Tu ne vas pas tarder à la voir.— Tu déconnes ?— Non. Si tu veux, elle est dans ma chambre, et on monte. Elle nous attend. Si tu ne veux pas, je te laisse libre de partir. Je n’avais physiquement pris aucun coup. Mais je me suis senti comme un boxeur qui serait arrivé sur le ring avec les yeux bandés et les mains attachées dans le dos avant de se prendre des droites et des gauches en pleine face. Marcher jusqu’à l’ascenseur a été une vraie punition. Une punition encore quand Anaïs a inséré sa carte dans le lecteur pour ouvrir la porte. Je me demandais ce que je foutais là, et pourtant il m’était impossible de ne pas y être. Elle était là. Debout, de dos, regardant par la fenêtre. Son ...
    ... short-jean trop court laissait dépasser le bas de ses fesses. Elle s’est tournée vers moi, tout sourire. Son tee-shirt moulant s’arrêtait au-dessus d’un nombril orné d’un bijou scintillant. Ses seins pointus étaient libres de ballotter. Une crinière remontée en un chignon chaotique lui donnait un air de harpie mal réveillée. Elle devait avoir des origines africaines et asiatiques. Quelle bombe ! Ma petite Anaïs, si pure, si belle, avec cette garce, ce n’était pas possible. Et pourtant… Blanche s’est avancée quasiment en dansant, l’air gai et enjoué. Elle m’a fait la bise comme on embrasse du bon pain, puis a carrément roulé une pelle à celle qui fut ma promise, sous mon nez. J’ai eu des envies de meurtre. Mais j’ai mon éducation et une certaine fierté. Blanche m’a fait un bla-bla insipide pour s’excuser de la situation et me remercier d’avoir bien voulu la rencontrer. Tout ça sans interrompre les caresses qu’elle prodiguait négligemment à Anaïs, lui passant la main sur les fesses, puis lui caressant le dos. Une fois sa prose terminée, elle a repris la bouche d’Anaïs qui se trémoussait, sans me quitter des yeux. Puis, comble de l’humiliation, je me suis vu proposer le canapé pour la nuit pendant qu’elles profiteraient du lit. Je suis resté interdit, sonné, assommé. D’autant qu’il n’y a qu’une pièce. J’allais dormir à côté, comme un chien. La colère s’était estompée au profit d’une dépression totale. J’étais incapable de dire ou de faire quoi que ce soit. Je me demandais si elles ...
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