1. La femme parfaite (7)


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Erotique,

    Épilogue : Changer le cours des choses De fins filaments de lumière parvinrent à se faufiler à travers les rideaux de ma chambre. Leur contact sur ma peau, en ce vendredi matin, allégea quelque peu mes paupières tombées sur mes yeux. Les oiseaux, d’une humeur joviale, sifflèrent en chœur une mélodie apaisant mes tympans. Toutes ces sensations, cumulées, entraînèrent le résultat escompté : je me réveillai. J’ouvris lentement les yeux, frottant d’un geste lent mes arcades sourcilières comme pour me redonner un tant soit peu d’énergie. Je me tournai alors vers ma droite. J’attendais de voir apparaître à mes yeux le doux spectacle que Sonia allait m’offrir dans quelques instants, celui d’un visage d’ange encore endormi. J’avais besoin de cela afin d’effacer cet horrible cauchemar de ma tête, celui dans lequel, jouant avec le feu, je trompais ma dulcinée avec deux femmes avant que, damné par les cieux, je fus démasqué. Lorsque mon esprit sortit enfin de sa torpeur, je pus alors distinguer les traits parfaits de la déesse endormie. Dieu qu’elle était splendide. Il me fallut quelques secondes avant de me résoudre à quitter cette merveilleuse du regard. Sans un bruit, je sortis des draps et, malencontreusement, le large draps blanc quitta le navire et s’abattit brutalement sur le sol de l’appartement. Mon attention fut alors attirée par la nudité de ma partenaire. Elle était exactement dans le même état que la veille au soir, lorsque nous avions procédé à mon divin dépucelage. ...
    ... Elle avait gardé le même écartement au niveau des cuisses, si bien que ma vision me permettait de profiter d’un spectacle complet. Je ne ratais pas une miette de cette petite pêche sans noyau qui, d’une façon quasi hypnotique, m’attirait à elle. Je ne pus contrôler mes hormones ordonnant à mon cerveau de rejoindre cette merveille de la nature. Je ne pris pas même le temps de me rhabiller que je m’approchai d’elle. Lorsque la distance nous séparant, elle et moi, fut des plus réduite, Sonia émit un doux bâillement. Elle aussi quittait le monde onirique afin de rejoindre la réalité. -Bonjour mon cœur, tu as bien dormi ? Demanda-t-elle, somnolente. -Je n’ai cessé de penser à toi, ô déesse lunaire. Elle se redressa avec un sourire. -Déesse lunaire ? C’est ce que je t’inspire ou c’est le fait de voir mon cul qui te fait penser à la lune ? Je souris, elle suivit. Elle s’approcha alors du bord du lit jusqu’à ce que ses pieds touchent le sol. -Bon, tu as bien travaillé hier soir, tu as droit à une petite récompense. Sur ces mots, elle s’allongea et écarta ses cuisses de plus bel. -Bon appétit. Subitement, cette scène me remémora étrangement celle que j’avais vécu en rêve. Je balayai cette idée de mon esprit, je ne voulais plus penser à ce genre de choses pleines d’ondes négatives. J’avais un minou à déguster. Mon pénis tripla alors de volume devant le sexe enflammé de ma partenaire. Je m’avançai, obnubilé par cette fente tant désirée. Je m’agenouillai lorsque je me trouvai à quelques ...
«1234...»