La femme parfaite (7)
Datte: 08/12/2018,
Catégories:
Erotique,
... centimètres de ses jambes. Mon regard se trouva en face du vagin de Sonia. Il ne me fallut que quelques secondes supplémentaires pour poser mes lèvres sur son intimité. Un éclair de plaisir parcouru mon corps à travers mon échine lorsque ma langue, la léchant de l’intérieur, pénétra son corps. Je l’entendis alors gémir tandis qu’elle posait ses deux mains au sommet de mon crâne. Je regardai alors, comme dans mon rêve, le réveil posé sur la table de chevet et m’aperçus que j’allais être en retard. Cependant, je décidai de m’accorder cette partie de matinée euphorique. Comme pour valider mes pensées, je plongeai deux de mes doigts dans son vagin et remuait au maximum de mes capacités. Elle hurla de bonheur jusqu’à ce que, après d’intenses secondes de plaisir, elle jouit, m’aspergeant de ce liquide féminin. Elle ahana quelques secondes avant de regarder à son tour l’heure à sa droite. -Nathan, tu vas être en retard ! -Pas grave, lui fis-je d’un clin d’œil, je peux bien arriver en retard si c’est pour toi. -Flatteur, va ! Bon, va te laver, je te prépare ton petit-déjeuner. -Ne te donnes pas cette peine, j’irai m’acheter un pain au chocolat après mon cours de ce matin. Je lui donnai un baiser sur le front avant de m’enfermer dans la salle de bain. Huit heures dix. J’avais dix minutes de retard. Mon professeur décida donc de ne pas me laisser entrer. Heureusement pour moi, ce cours ne durait qu’une petite heure, je n’allais pas manquer grand chose. Je partis donc, sous les cris ...
... d’encouragement de mon estomac, en direction de la boulangerie. J’empruntai le chemin habituel avant d’entrer dans cette petite pièce que je connaissais tant. La salle était vide. Mis à part les bruits de pas d’Ariane, la boulangère, remuant à droite et à gauche afin de se préparer à la légendaire invasion des ventres vides de dix heures. Elle esquissa un sourire au moment même où mon regard croisa le mien. -Salut, tu es en avance par rapport à d’habitude. -Salut. Ouais, je suis arrivé en retard et tu connais monsieur Tronchard, impossible de rentrer après la sonnerie. -J’en ai entendu parlé. Mais qu’est-ce qui t’es arrivé, tu es du genre à toujours arriver en avance, ça ne te ressemble pas. -Disons, dis-je en rougissant, que j’étais occupé avec ma copine. -Tu as une copine ?! La fille d’hier tu veux dire ! -C’est bien elle. Mais dis-moi, c’est que tu m’espionnes, répondis-je avec un clin d’œil. -Arrête de rêver, sortit-elle en tirant la langue. C’est juste que cette fille est une bombe. Tu as dû sacrément apprécier hier soir. -Hmmm... On peut changer de sujet si ça ne te dérange pas, je ne suis pas certain d’avoir envie de parler de ma sexualité. -Comme tu voudras. D’ailleurs, maintenant que j’y pense, tu voudrais pas venir m’aider avec les pains au chocolat, tu pourras en prendre un ou deux si tu veux. Un frisson me parcourut le corps. Se pourrait-il que je fus en train de revivre, d’une façon plus ou moins similaire, les événements survenus dabs mon rêve. Si tel était le cas, ...