1. La femme parfaite (7)


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Erotique,

    ... délicatement mon T-shirt et caressa de ses mains mon torse maintenant nu. Elle me lécha un téton et joua avec l’autre du bout de ses ongles. Ces sensations, sensuelles et agréables, provoquèrent en moi une montée de testostérone et mon pénis entra immédiatement en érection. Sonia, qui l’eut remarquée, abandonna son activité actuelle pour déboutonner mon pantalon de toile et le descendre, avec mon caleçon, le long de mes cuisses. Je me retrouvai nu pour son plus grand plaisir. Elle s’apprêta à me donner une nouvelle fellation mais je l’attrapai par les épaules pour la faire basculer sur le lit à côté de moi et, comme elle l’avait fait avec moi, je la déshabillai. Elle se retrouva bientôt en lingerie sexy ; une culotte et un soutien-gorge noirs en dentelle recouvraient encore les parties les plus excitantes de son corps, ou du moins, jusqu’à ce que je les ôte à leur tour. Ma petite amie était tellement excitée qu’elle était déjà trempée de l’intérieur si bien que mes doigts n’eurent besoin d’aucune aide afin de s’y loger. Je lui donnai rapidement du plaisir à l’aide de mes phalanges, mais bientôt il m’en fallut plus, et à en juger par son regard de tigresse, c’en était de même pour son corps. Je remontai le long de ses courbes, me glissant sur son abdomen comme un serpent. Lorsque son visage fut à hauteur du mien, nous nous embrassâmes tendrement tandis que, lentement, j’introduisis mon phallus en elle. Sonia, au fur et à mesure que mon membre explorait les profondeurs de son ...
    ... intimité, émit de légers cris et s’agrippa à mon cou. Mon gland, dès lors qu’il fut entré en son intégralité, frottait vigoureusement l’entrée de son utérus. J’entamai alors de nombreux va-et-vient accompagnés du doux son de sa mouille furieusement agitée par le kraken habitant son antre. Un océan de sensations me submergea tandis que Sonia, perverse dans l’âme, baissa ses mains jusqu’à atteindre mes fesses et joua avec. Je décidai d’en faire de même pour sa poitrine, la malaxant simultanément avec mes mains et ma langue qui, quelques secondes auparavant, se trouvait encore dans la bouche de ma partenaire. Nous tînmes cette position quelques minutes supplémentaires jusqu’à ce que Sonia se retourne, m’invitant à rejoindre cette position bien connue : la levrette. Mon pénis, sortit quelques secondes de son enclos humide, retrouva sa place bien au chaud et notre activité reprit de plus belle. Je lui assénai de longs coups de rein, espérant chaque fois la pénétrer plus profondément encore. D’ailleurs pouvais-je sentir mes testicules claquer contre ses cuisses lorsque j’atteignais les abysses de cet océan de merveilles. Nous changeâmes de position une nouvelle fois. Elle me força à me retirer et me sauta dans les bras. Elle entoura mon cou de ses muscles brachiaux et ses mon torse de ses jambes. Je plaçai alors mes mains sur ses fesses afin de la maintenir et, au passage, m’amuser à les caresser autant que possible. Je n’eus cependant pas ce plaisir très longtemps. En effet, elle ...
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