1. Au coeur de la Grande-Forêt


    Datte: 09/12/2018, Catégories: fh, ff, 2couples, fhhh, frousses, rousseurs, poilu(e)s, forêt, amour, noculotte, Oral pénétratio, init, conte, pastiche, délire, humour, fantastiqu, merveilleu, sorcelleri, merveille,

    ... cet étonnant combat.— Vous non plus, Messire. Les fesses de votre Dame Blanche sont semblables à de la neige immaculée.— En effet, elle est si belle. Ils arboraient tous deux une érection impressionnante, prêts à un autre assaut. Les deux femmes gémissaient de plus belle et explosèrent en un cri strident. Blanche émergea la première, un regard traversa la brune chevelure. Souriante elle appela sa flamboyante amie : — Amandine, regarde qui nous observe avec attention.— Oh, nos grands méchants loups, bien disposés envers nous. Blanche murmura quelques mots à l’oreille du petit chaperon rouge qui pouffa. — Laissez-nous faire, mes seigneurs loups. Elles s’approchèrent d’eux, à quatre pattes, firent s’allonger les deux jeunes hommes étonnés, mais ravis. Blanche s’installa à califourchon au-dessus de Guillaume tandis qu’Amandine s’occupait de Hubert. Elles placèrent lesColonnes d’Hercule tendues face à leurs charmantes figues velues et se laissèrent glisser jusqu’à faire se rejoindre les deux pubis. — Vous ne voyez aucune objection à ce que nous nous échangions, s’inquiéta Amandine.— Paas du touuut, soupira Hubert, la glotte en délire.— Puis-je, interrogea Guillaume en manipulant les seins de la brune princesse tels des œuvres d’art.— Faites, mon cher, répondit Blanche d’une voix mal assurée. Blanche, moins nunuche qu’elle ne voulait le faire croire, entrevit un jour des gravures dans un grimoire des dessins licencieux qu’il lui tardait de reproduire, en chair et en os. Dans cette ...
    ... bibliothèque, elle vit des choses qui ne la laissèrent point indifférente, mais de nombreuses questions lui trottaient dans la tête. Questions qui recevaient une agréable réponse. Des cris et des gémissements d’aise retentirent à nouveau dans ces paisibles fourrés. ~oOo~ L’Impératrice faisait les cent pas dans son boudoir, renversant de nouveau les meubles et arrachant les tentures. — Mais que fait cet idiot de Brunô. Une semaine qu’il est parti à la poursuite de cette gamine, sans me donner de nouvelles, a-t-il au moins compris ce que j’attends de lui, qu’il me ramène deux filles, les plus belles du royaume, du moins jusqu’à nouvel ordre, avant que je ne m’occupe de leur cas. Elle cassa un autre vase. — Une fois ce travail terminé, je le fouette jusqu’au sang, uniquement pour m’avoir fait lambiner… Elle en était là de ses menaces et de ses prévisions de tortures, quand elle ressentit une vive douleur au bas-ventre. Elle ne souffrait pourtant d’aucune maladie. Cette douleur ressemblait à la pénétration d’un corps étranger. À peine ce premier élancement passé, qu’une seconde géhenne encore plus violente vint la perforer. Agenouillée, elle ne savait que penser. Elle regarda son miroir agité de remous. — Miroir, mon beau…— Hélas, ma reine.— Non ! Impossible, Brunô doit réussir. Elle vit alors avec effroi des rides sur ses mains. Elle se déshabilla et constata, épouvantée, ses seins atteints de ptôse et les lèvres de sa chatte s’avachir. — Nooon, hurla-t-elle d’une voix rauque. ...