Justine : deuxième leçon (1)
Datte: 10/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mes seins de ses deux mains et commence un lent et délicieux massage des globes, des aréoles, des tétons… — Tu me plais, ton maître a beaucoup de goût. Tes visites seront toujours très douces et très câlines. À ces mots, mes tétons durcissent. Sa main droite descend sur mon ventre, arrive au mont de venus, se plaque sur ma chatte. Celle-ci est lisse, douce comme une peau de bébé. Je me laisse aller en arrière, contre son épaule. De sa main gauche, elle tire sur mon téton pour annuler mon mouvement. — Allonge-toi sur le tapis ! gacgbbpq Sa main droite se place sur mon cul, le caresse, son index descend entre mes deux fesses, rencontre ma rosette, s’y attarde, reprends sa descente, survole le périnée. Tout est lisse, net. L’index continu sa course, s’immisce entre mes lèvres, trouve facilement l’ouverture, pénètre, ressort. Elle est comme une musicienne entrainée, qui répète une gamme sans jamais faire de fausse note. Pour être experte à ce point, elle doit faire ça tout les jours avec son propre sexe. Maintenant, deux doigts me fouillent, s’imprègnent de mouille. Elle remonte sur ma rosette, la lubrifie, la déplisse. — Écarte tes fesses avec tes mains Ses ordres sont presque susurrés. Plus doux que ceux de mon maître, mais tout aussi fermes. J’obéis, bras tendus derrière moi. — Non n’écarte pas trop. Juste ce qu’il faut pour être totalement accessible à la vue et à la caresse, mais sans déformer la belle étoile de ton cul. Tu a encore des progrès à faire pour t’offrir avec ...
... tout le vice qu’il convient. C’est parfait comme ça, ne bouge pas ! Elle place un peu de vaseline sur ma rondelle. Le pouce reprend sa place, entre pratiquement sans effort. Il ne peut aller plus loin. Il ressort et se met à coulisser. Devant, deux doigts de Marianne me pénètrent. De lointains souvenirs reviennent encore une fois à ma mémoire… Je venais d’entrer en fac, j’avais dix-huit ans. Il y avait un prof que j’adorais (enfin je le croyais, ce qui revient au même), et j’avais résolu de le séduire. Et ça n’a pas vraiment été trop dur ! Un mercredi après-midi, je l’ai retrouvé chez lui, le cœur battant. Il m’a embrassée, m’a déshabillée, moult caressée, moult enculée. Et rien d’autre. Pendant toute la durée de notre liaison (presque deux ans), il ne m’a jamais prise autrement. Il m’a fessée aussi, dès le début. La première fois qu’il m’a pénétrée, j’ai juste eu mal, juste le temps de me demander ce qui m’arrivait. Puis il m’a caressée, apprivoisée… et fessée, fort. Puis il m’a enculée encore, et il m’a limée profondément, en me caressant toujours, et j’ai joui… Vous savez, cet émerveillement de la première fois, où c’est un autre que toi qui te donne du plaisir, et en plus avec une queue plantée en toi, au plus profond, et pas comme ta maman t’a appris qu’on doit faire. Après, c’est devenu comme un jeu, comme un rite. Il me fessait (de la main, ou à coups de ceinture parfois), il m’enculait, je jouissais. C’était devenu un automatisme. J’étais dressée à jouir comme ça. ...