1. Les animaux de Priape (5)


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Zoophilie,

    Il va sans dire que notre attente nous parut bien longue. A force de ces orgies répétées et inimaginables, nous nous étions habitués à une débauche de cul et en avions presque oublié notre objectif initial... cependant, nous ne doutions plus qu’il allait se réaliser. Mais en même temps cela signifierait la fin de ces bacchanales sexuelles et nous l’appréhendions avec regrets. Enfin, la lune fut pleine. Il n’y avait aucune crainte de notre part mais, au contraire, une attente fébrile. Pacôme vint nous chercher une dernière fois. Le trajet fut silencieux. Assis à l’arrière de la voiture, ma femme et moi nous laissions l’excitation grandir. J’avais ouvert ma braguette d’où ce sexe allongé et grossi que j’avais reçu en cadeau des dieux et qui ne cessait de m’émerveiller sortait fièrement dressé. Clara le masturbait lentement. Pour la première fois, on ne nous avait pas bandé les yeux et nous pûmes regarder tout le parcours mais comme dans un rêve, sans y faire vraiment attention. Nos préoccupations étaient ailleurs. Aldéric nous accueillit avec beaucoup de déférence. Comme j’en avais l’habitude, je me déshabillai dans l’antichambre en compagnie des garçons dont j’admirai à nouveau la plastique sublime mais, désormais, je n’avais plus rien à leur envier en matière de gros paquet. Clara était dans une autre pièce. Nous entrâmes dans la chapelle éclairée d’une lumière tamisée et baignée dans une tiédeur humide assez agréable. Les statues étaient telles que nous les avions laissées ...
    ... lors de notre précédente débauche, le sexe énorme pendant presque à terre. Ma femme apparut. Elle ne portait qu’une cape qui laissait voir tout son buste, ses seins superbement gonflé, et sa culotte qui était toute mouillée déjà. Apparut alors le chien de Priape dont l’énorme sexe aurait touché terre s’il n’avait été aussi fortement tendu. Ma femme baissa sa culotte et la lui lança. Le chien la renifla longuement, faisant encore gagner quelques centimètres à sa verge. Mes compagnons et moi, spectateurs, bandions comme des ânes avec allégresse sans que nos queues respectives atteignissent la taille de celle du chien. Comme je l’ai déjà dit, il se servait de ses pattes avec la même agilité que s’il se fût agi d’un homme. Il prit la fine étoffe de dentelle rouge dégoulinante de cyprine et s’en frotta le bout du gland jusqu’à ce que le tissu déborde de crème blanche. Ma femme était offerte, debout, jambes et bras écartés, les cuisses internes trempées par le torrent qui s’échappait du con. Le chien s’approcha. Il saisit la culotte qui était plus chargée de sperme qu’une éponge ne peut absorber d’eau. Il la passa entre les jambes, puis l’essora sur les nichons. Quand ce fut fait, debout, il plaqua son pénis anthropomorphe, rouge vif à l’extrémité, entre les mamelles. La queue était tellement longue que ma femme pouvait serrer contre ses seins l’énorme masse de chair tout en en chatouillant le gland qui dégoulinait de mouille. La pine n’arrêtait pas de couler et ma femme ruisselait ...
«1234»