1. Les animaux de Priape (5)


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... tour., longuement, lentement en basculant son arrière-train d’avant en arrière et en donnant un grand coup sec en bout de course, dans un torrent qui sortait sous pression de la chatte dans la quelle il se déversait. Au sol, une flaque gigantesque s’étendait. Il n’avait pas plus tôt fini qu’elle cria : "Au suivant". Le singe apparut, la queue déjà dardée vers le ciel balançant de droite et de gauche au rythme de son pas chaloupé et rapide. Elle n’eut besoin que d’un geste pour le faire asseoir en tailleur ce qu’il fit avec le naturel d’un bonze tibétain près pour la méditation... mais ce qu’il méditait, lui, c’était de sauter ma femme et la droite colonne qui s’élevait depuis son entrejambe vers son ventre en trahissait toute l’impatience. Elle vint s’empaler dessus, en guidant le vit en elle de sa main droite. On ne pouvait avoir été plus lubrifiée qu’elle l’était et, pourtant, la pénétration fut lente et sans doute douloureuse. rnzzic Il semblait qu’aujourd’hui, vraiment, elle fût dotée d’une moindre élasticité et que son corps n’absorbait plus que partiellement les énormes contraintes sexuelles qu’il devait endurer en qu’aucun organisme normal n’eût pu supporter. Je m’approchai au plus près du couple pour voir les lèvres vaginales s’écarter sur l’énorme manche. Quand elle fut bien enfoncée, elle croisa ses jambes dans le dos du singe, ses bras noués autour de son cou et ils se mirent à faire l’amour sauvagement. L’animal passait ses mains entre ses propres cuisses et les ...
    ... fesses de Clara pour l’aider à se mouvoir sur sa tige. Ils palochaient en bavant et leurs poitrine s’écrasaient maintenant l’une contre l’autre dans une violente étreinte. Quand ils cessaient de s’embrasser, elle s’adressait à lui comme à un amant ordinaire. "Vas-y, embrasse-moi grand fou... mets-moi bien ta queue. Caresse-moi... prends moi toute entière... j’veux sentir ta bite" ! Le singe lui répondait par des cris qui tantôt exprimaient une forme de tendresse, tantôt une tension orgasmique. Quand il fut sur le point de jouir, Il se penchèrent chacun en arrière, éloignant leurs torses l’un de l’autre et ne se tenant fermement que par les épaules.. J’en profitai pour me rapprocher et voir au plus près la décharge fantastique du singe. Je vis, là où les deux corps s’emboitaient, sourdre une mousse épaisse et blanchâtre qui, avec les frottement ininterrompus des sexes l’un sur l’autre couvrait de crème les poils de leurs intimités respectives. La pièce fut emplie de leurs cris. Elle se détacha en se levant dans un "plop" humide et sonore, un bruit de bouchon qui saute. Elle s’agenouilla pour sucer le pylône comme un sucre d’orge. L’érection se maintint et le singe fut prié de reprendre du service, avec Aldéric. Allongé sur le singe, sa bite à nouveau bien au fond du vagin, elle accueillit le gland d’Aldéric sur sa rondelle rose. Il n’eut qu’à tremper sa trique sur le sperme qui dégoulinait de partout pour graisser et dégourdir l’orifice et s’y introduire san peine. Il s’enfonça ...