Necklace... (Collier)
Datte: 10/12/2018,
Catégories:
fh,
profélève,
fépilée,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
occasion,
Cette aventure s’est déroulée il y a deux mois, au début de la période estivale. Cadre dans un grand groupe international, âgé de 40 ans, je prends des cours d’anglais depuis près d’un an maintenant. Ma charmante institutrice se prénomme Nataly et est originaire d’Australie. Je lui donnerais entre 35 et 40 ans, elle mesure environ 1m65, a les yeux marron, les cheveux mi-longs, châtain foncé. Elle a le visage fin, les yeux bleus. Sa poitrine est toujours soutenue par un soutien-gorge, du fait de son opulence. Nous avons sympathisé et nos cours se passent dans une ambiance détendue, assis l’un à côté de l’autre, autour de ma table ; il n’est pas rare que nos pieds ou nos genoux se frôlent, entraînant toujours un « pardon » gêné. Mon dernier cours avant mes congés avait été fixé en toute fin de journée ; en juillet, ma société était déjà bien vide à cette heure-là, et seuls quelques chercheurs restaient enfermés dans leur bureau au sous-sol. Il faisait très beau et chaud, même si ma fenêtre de bureau était ouverte et nous donnait un tout petit peu d’air chaud. Au bout d’une demi-heure, Nataly a retiré sa veste en lin, découvrant un joli chemisier blanc, avec deux boutons ouverts. Cela restait toutefois très pudique et je ne pouvais qu’entr’apercevoir un petit bout de soutien-gorge blanc. Je lui ai pris sa veste pour l’accrocher à mon porte-manteau. Je me suis assis, lorsque je l’ai vue changer de couleur, après s’être passé la main sur le cou — Qu’y a-t-il Nataly ?— Mon ...
... collier, j’ai perdu mon collier… J’y tenais beaucoup, il me vient de ma mère, qui est restée en Australie. Ou ai-je bien pu le perdre ?— Qu’as-tu fait cette après-midi de particulier ? Repassons-le ensemble si tu veux ?— Je suis restée au bureau, tu étais mon seul cours de la journée.— Rien d’autre ? Tu n’as pas changé de vêtement ?— Non… Ah ! Si, j’avais mis un pull ce matin, que j’ai retiré avant de venir, car il faisait trop chaud.— Peut-être as-tu accroché le collier avec ton pull en l’enlevant et il s’est dégrafé ?— Oui peut-être, me répondit-elle, je regarderai en rentrant tout à l’heure. Nous reprîmes le cours, mais elle n’avait plus la tête à ça. — Écoute, lui dis-je, cela m’est déjà arrivé avec ma chaîne ; elle s’était décrochée, et je l’ai retrouvée le soir en me déshabillant. Veux-tu aller voir aux toilettes ? Elle s’absenta trois minutes, et revint la mine toujours défaite. — Non, rien, me dit-elle. Avant de s’asseoir, elle se pencha en avant pour chercher un mouchoir dans son sac, et je vis une surépaisseur sur l’élastique de son soutien-gorge, au travers de son chemisier blanc. — Nataly, excuse-moi, mais j’ai peut-être trouvé ton collier.— Ah bon, mais où ça ?— Me permets-tu de te passer la main dans le dos ?— Euh, oui, me dit-elle en rougissant. Je passai la main par-dessus son chemisier, sur l’élastique du soutien-gorge, et effectivement, je sentis le collier. — Nataly, ton collier est certainement pris dans la dentelle, veux-tu que j’essaie de le décrocher, lui ...