Necklace... (Collier)
Datte: 10/12/2018,
Catégories:
fh,
profélève,
fépilée,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
occasion,
... dis-je à mon tour en rougissant. Nous nous regardâmes et nous sentîmes que quelque chose allait se passer. Tout allait se jouer sur sa réponse, qui se fit un peu attendre. Rougissante, elle me répondit : — Oui, mais ferme ta porte à clé, on ne sait jamais, et tu aurais certainement du mal à expliquer la façon dont se passe ton cours d’anglais si quelqu’un entre et te voit penché sur le dos de ta prof… Elle me tourna le dos, et je passai derrière elle. Délicatement, je tirai sur le bas de son chemisier, pour le faire sortir de son jean. Je lui passai les mains autour de la taille afin de le sortir le plus possible et pouvoir accéder plus facilement au milieu de son dos. Mes avant-bras frôlèrent ses seins, et je vis son cou frémir. J’accédai enfin à l’élastique de son soutien-gorge, mais le collier était tellement emberlificoté, que je n’arrivais pas à le décrocher. — Nataly, je suis désolé, mais il va falloir que tu enlèves ton soutien-gorge, sinon je n’arriverai pas à libérer le collier.— Au point où nous en sommes, me dit-elle… Elle retira son chemiser, en me tournant toujours le dos et je m’approchai d’elle pour dégrafer son soutien-gorge. Je fis glisser mes mains contre sa peau pour glisser ses bretelles contre ses bras. Au passage, j’effleurai ses seins, dont je sentis les tétons se dresser. Je m’assis sur le bord de mon bureau et entrepris la difficile tâche de dégager le collier du soutien-gorge. Après une petite minute d’effort, j’avais dans une main le soutien-gorge ...
... et dans l’autre le collier. — Ça y est, lui dis-je.— C’est vrai ? me dit-elle en se retournant brusquement. Je vis ses deux seins parfaits, de vraies petites poires aux petites aréoles et aux tétons fièrement dardés. Elle me regarda, puis baissant les yeux, rougit. — Tu es magnifique, lui dis-je. Viens que je te remette ton collier. Elle me tourna le dos et je lui agrafai son collier. Mes mains ne quittèrent cependant pas son corps et je les fis glisser doucement sur ses épaules puis descendre doucement sur son buste pour empaumer ses seins et caresser doucement ses tétons. Ceux-ci ne tardèrent pas à réagir, et ils se dressèrent fièrement entre mes pouces et index. Je lui embrassai délicatement le cou. — Non, il ne faut pas, me dit-elle. Je ne l’écoutai pas et la retournai face à moi, tout en remontant doucement ma bouche sur sa peau jusqu’à ses lèvres. — Si, au contraire, j’en ai envie… et toi aussi. Elle approcha ses lèvres des miennes et m’embrassa, d’abord doucement, puis de plus en plus fougueusement, sa langue cherchant la mienne. Mes mains ne restaient pas inactives et empaumaient ses seins en les massant doucement. Elle gémit doucement et ma bouche quitta la sienne pour venir mordiller son téton. Ma langue courait sur son sein, mes dents grignotant son téton qui ne cessait de durcir et de se darder. J’ai cru rajeunir de 40 ans, en tétant avec avidité ce petit bout dressé. Je la reculai jusqu’à ma table ronde et l’assis. Je m’agenouillai et dégrafai son jean ; je le ...