Le fantasme de mon amie............ Peut être (3)
Datte: 11/12/2018,
Catégories:
Lesbienne
... pour l’empêcher de continuer. — Stoooop ! Arrête ! Je n’en peux plus ! Tu vas me tuer ! J’ai desserré les jambes, elle a pu retirer la tête, et j’ai senti le gode sortir de mes entrailles. J’ai été prise de convulsions à sa sortie, comme si je voulais que ça continue encore et encore. Elle s’est encore amusée un peu en faisant glisser le gode le long de ma fente jusqu’à mon clito. — Non ! Arrête ! Tu veux ma mort ! C’est trop fort ! Je n’en peux plus. — Je veux juste que ce moment soit inoubliable, que tu te rappelles de moi. — C’est réussi, je ne risque pas d’oublier ! Jamais je n’ai ressenti ça. Pardon mon chéri, mais c’est la vérité, elle m’a tué. Quel bonheur ! J’ai eu du mal à reprendre mes esprits, sa bouche remontait tout le long de mon corps, pour finir sur la mienne. J’ai eu beaucoup de mal à répondre à son baiser, anéantie par la jouissance. Je lui caressait les cheveux, la serrait contre moi. J’aurais voulu que ce moment dure une éternité. Elle s’est séparée de moi, s’est levée, et mis le gode dans la bouche pour laper ma mouille. Apparemment elle appréciait ce nectar, émettant des râles de satisfaction. — Tu as très bon goût, me dit-elle, c’est un délice ! — N’est ce pas, répondit mon ami, moi aussi j’aime son goût. Mais bon sang qu’est ce que vous lui avez fait ! Je ne l’ai jamais vu dans cet état. — Moi rien ! Elle en avait juste très envie, et cela a décuplé son plaisir. Et vous qu’est ce que vous avez ressenti ? — J’ai failli décharger dans mon froc ! C’était ...
... vraiment très excitant ! Il s’en est fallu de peut ! — Vous pouvez être fier de votre compagne, elle est vraiment une bonne maîtresse. J’émergeais de mon coma, et je pouvais enfin suivre clairement leur conversation. Je me suis assise et j’ai regardé celle qui m’avait fait grimper au rideau. Je la regardais, la détaillais, la trouvais vraiment très belle avec ses magnifiques jambes, son joli petit cul, ses seins visiblement très fermes, et son beau visage. J’en aurais bien fait mon dessert. Qu’est ce qui m’arrivais ! J’avais envie de cette femme ! Je voulais la caresser, lui faire l’amour, la faire jouir. Comme dans mes fantasmes. C’est mon ami qui m’a sorti de mes rêveries : — Alors mon amour, heureuse ! Tu t’es vraiment éclatée ! — Il y avait de quoi ! C’est une experte ! Je ne m’attendais pas à un tel feu d’artifice ! — Tu en avais vraiment envie, me dit-elle, tu as été très réceptive. On remet ça quand tu veux ! — Hummm ! Ne me tente pas ! Laisses-moi le temps de récupérer. Mais pourquoi pas ! J’ai beaucoup aimé. Je ne me savais pas si salope, c’était le paradis. Je me suis levée, je l’ai prise dans mes bras. Je cherchais ses lèvres pour la remercier. Nos bouches se sont jointes dans un baiser passionné. Mes mains sont descendues sur ses fesses, et j’ai pu apprécier la fermeté de son joli petit cul. — A moi maintenant ! Tu me donne trop envie, et je veux te faire jouir autant que moi ! Elle me souriait, m’offrait ses lèvres pour un nouveau baiser fougueux. — Je n’attends ...