1. Mirna et Pablo (quatrième partie)


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Mature, Inceste / Tabou

    ... essayer de le déconcentrer. Pas moyen. Le petit soldat restait inébranlable. Le supplice dura une bonne demi-heure. J’en avais assez soupé, de ce jeu à la con ! Je suis une femme de lettres, moi ! Du coup, je lâchai la manette, et me suis renversée en arrière, les bras en haut :- Je me rends ! Je capitule ! Tu m’as tuée, Pablo.- Trouillarde ! Trouillarde ! Poule-mouillée !Etait-ce il possible d’avoir oublié à ce point que, quelques heures auparavant, je lui avais fait plein de cochonneries, que je l’avais branlé, et, même, que je lui avais lécher le cul ? Et bien, oui, c’était possible. J’étais là, à moitié nue –en me renversant en arrière, la nuisette s’était retroussée laissant mon minou à la portée de sa vue-, et lui, il s’en moquait… Je décidai de prendre les choses en main :- Maintenant, Pablito, nous allons jouer à un autre jeu…- Oui ? Lequel ? Lequel ? J’en ai plein, moi !- Non, pas des tiens… Il s’appelle « Call of Sex »- Connais pas…Sa naïveté m’énervait autant qu’elle m’excitait. Je lui demandai d’éteindre la télé, de ranger la console, et de ne rien laisser sur la table basse. Il s’exécuta, plus perplexe que curieux. Je m’assis sur la table :- Viens ici, mon grand ! Lui demandai-je. Non, ne t’assieds pas. Débout, oui, comme ça !- Mais… Maman…- Maman dort la sieste, Pablito… Tais-toi et laisse toi faire…- Mmm…- Enlève ton t-shirt…Pablo s’exécuta et ôta son t-shirt de la guerre des étoiles, restant débout, devant moi, droit comme un piquet. Assise, ma tête était à ...
    ... la hauteur de son ventre, à quelques centimètres. Son caleçon orange commençait à gonfler à vue d’œil. Je posai mes deux mains sur ses épaules, et les glissai lentement, tout au long de ses bras. Je pris une de ses mains et me l’approchai de ma bouche. Un par un, je lui suçai les doigts, je les léchai comme s’ils étaient de petites bites. Puis, je répétai l’opération avec l’autre main. Sa respiration se faisait de plus en plus agitée. Un regard sur son caleçon me confirma son très haut degré d’excitation. Il fallait libérer la bête !Je tirai son caleçon vers le bas, lentement. D’abord, son pubis noir, touffu ; puis, la base de son pénis, large comme mon poignet, beaucoup plus sombre que la peau de son torse, déjà bien matte… Et, cette merveille que la mère nature lui avait offerte apparut à mes yeux, dressée, puissante. Je pris mon temps à lui baisser le calcif jusqu’aux pieds et, en le faisant, le bout de sa bite toucha mon visage. Je faillis sortir ma langue, rien que pour la lécher un petit coup. Mais, je me suis contenue, voulant porter son excitation au paroxysme.Je saisis sa bite avec ma main droite et tirai sa peau vers le bas pour bien la décalotter. Je la tenais dans ma main et ma langue s’est mis à lui lécher les testicules. Habile, l’autre main lui pelotait ses fesses rebondies. J’avais très envie de lui sucer la queue, mais plus encore de m’empaler sur lui. Je levai la tête et vus qu’il m’observait attentivement :- Maman te fais, ça ? Lui dis-je en lui lapant le ...