Mirna et Pablo (quatrième partie)
Datte: 11/12/2018,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... gland.- Oui… je suis sa sucette gourmande.- Et tu lui as déjà mis ta sucette dans sa foufoune ?- Non, maman ne veut pas…- Mais, toi, tu aimerais, n’est-ce pas ?- Si, j’aimerais…- Mais, tu lui mets d’autres choses, non ?- Eh… Oui, oui…MmmPablo avait du mal à articuler. Je lui léchais toute sa verge sans me l’introduire dans la bouche. J’avais faufilé un doigt entre ses fesses, lui titillant l’anus :- Quelles choses, bébé ?- Aaah ! Ouiii ! Elle me donne…Aaah ! des jouets qui font…Mmm ! du bruit !Je savais que j’étais en train de jouer avec du feu. Je savais que si je continuais à l’exciter de la sorte, il allait jouir sans me laisser le temps de m’enfourcher sur ce divin pieu. En même temps, l’idée de connaitre plus de détails de leurs cochonneries, m’excitait davantage.- Et sa petite rondelle ? Tu lui mets aussi des choses dedans ? J’appuyai ma question en lui enfonçant un doigt dans la sienne.- Oui, ma maman aime beaucoup… Aïe, je sens… Mmm… je sens que ça vient…Il allait jouir. Si j’arrêtais mon petit jeu pervers, ...
... j’aurais encore une chance de passer à la face deux. Mais, j’ai opté par lui donner ma bouche. Je mourais d’envie de sentir son foutre inonder mon palais. Alors, mes deux mains assirent ses fesses et je m’enfonçai sa bite dans ma bouche, aussi profondément que je le pus.- Ahouahou ! Ouffffff ! Bon ! C’est bonnnnn !Je crus que j’allais m’étouffer. Le premier jet de sperme me força à me racler la gorge, de telle façon qu’un filet de foutre m’était sorti par les narines. Je me suis écartée pour respirer, comme on sort de l’eau par manque d’oxygène. Mais, sa bite était une sacrée pompe à foutre, un gicleur sans fin. Pas besoin de le branler. Il avait mis le pilote automatique. En quelques secondes, tout mon visage était couvert de son nectar blanchâtre et visqueux. Ça dégoulinait de partout, de grosses larmes de foutre tombaient sur ma nuisette. Je ramassais avec mes doigts tout ce que je pouvais pour le savourer goulument. Pablo me regardait, avec un sourire d’oreille à oreille.- J’aime beaucoup ton jeu ! On refait une partie ?