1. Déménagement


    Datte: 11/12/2018, Catégories: fh, amour, Oral pénétratio,

    ... le bouton toujours guidé par les mains féminines. Trois doigts de son autre main investissent le second orifice et il agite l’ensemble. Les jambes d’Éliane se raidissent, elle décolle son bassin, serre la tête entre ses cuisses et lance un cri de joie. Hervé est heureusement adepte de l’apnée, car il ne peut plus respirer, le nez écrasé, la bouche envahie par un flot parfumé. Le corps féminin se relâche, les membres se détendent. Hervé se redresse et vient admirer le visage. Les mains reprennent la tête et lui imposent le baiser, la langue d’Éliane appréciant son propre suc. Ils restent un moment sur l’étroite couche, elle nue, lui encore habillé. Voulant le connaître enfin, elle se dégage et entreprend de le dénuder. Elle a des difficultés à dégager le boxer d’un épieu qui accroche le tissu. Assis, il la devine dans la pénombre. À genoux devant lui, elle prend en main l’outil masculin, le caresse, le branle, lèche la tête, se retire puis, l’engloutit. Elle l’absorbe en entier, le faisant pénétrer dans son gosier, le maintient ainsi un instant puis entreprend une succion très contrastée. Lente d’abord, elle accélère, ralentit lorsqu’elle sent le membre gonfler. C’est à la fois un plaisir et un supplice, lorsqu’elle arrête sa succion… il est prêt à exploser!. N’y tenant plus, il s’arrache à cette bouche ensorceleuse, couche sa compagne à même le parquet et la pénètre à fond. Il s’immobilise, la bloquant comme pour lui indiquer qu’à présent c’est lui qui prend la direction des ...
    ... opérations. Alternant lui aussi les mouvements rapides et lents, il fait remonter chez elle la pression et quand il la sent prête termine par une chevauchée rapide. Et c’est un plaisir simultané. Ils restent un moment couchés sur le dos, imbriqués, savourant ce moment de pur bonheur. La fraîcheur du sol les tire de leur torpeur. Elle s’allonge sur le divan, lui branche un lampadaire sur pied et l’allume. Il peut alors admirer ce corps qui lui a donné tant de jouissance. — Tu es magnifique allongée comme cela, on croirait l’odalisque d’Ingres.— Je ne savais pas que j’étais aussi grosse, proteste-t-elle.— Mais non, je voyais en toi toute la sensualité qui émane de ce tableau. » Calmés, il se sont enlacés et sont restés longtemps, sans une parole. La fraîcheur les rappelle aux contingences matérielles, ils cherchent sur les étiquettes des cartons celui marqué « couvertures ». Ils en sortent plusieurs et se fabriquent une couche à même le sol. C’est un rayon de soleil qui vient le réveiller. Il a bougé pour dégager son bras pris sous le cou de sa compagne, la tirant du sommeil. — Bonjour ma belle. Tu es magnifique, dit-il en rejetant la couverture.— Et toi tu n’es pas mal, surtout tu es en forme murmure-t-elle en saisissant le membre érigé.— Si tu ne me lâches pas, je ne réponds de rien.— Vantard, tout en paroles et rien dans les actes ajoute-t-elle d’un air provoquant.— Ah oui ! Eh bien tiens, dit-il en l’immobilisant sous lui, son dard prêt à s’enfoncer.— Doucement, tu vas me ...
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