Déménagement
Datte: 11/12/2018,
Catégories:
fh,
amour,
Oral
pénétratio,
... mais Éliane évite de se faire repérer. Ils montent en silence. Comme ils n’ont pas trouvé la minuterie, il a mis sa main derrière sa taille afin qu’elle ne tombe pas. Arrivés sur le palier, il sort la clé, tâtonne pour trouver la serrure. Chacun d’eux fait glisser sa main sur le chambranle pour trouver où mettre la clé. Leurs mains se rencontrent, s’étreignent, leurs visages se tournent, se rapprochent et se joignent en un baiser d’abord tendre puis fougueux. Un long moment ils restent enlacés et c’est la lumière qui les fait revenir sur terre. Un couple assez âgé descend lentement et sourit en les voyant enlacés. Ils arrivent alors sans peine à mettre la clé en place. À peine entrés, ils repoussent le battant, il la plaque contre et reprend l’étreinte. Ses mains glissent sur les fesses, tirent le bord de la robe. La fente permet de remonter le tissu et bientôt ses doigts entrent en contact avec une cuisse douce mais ferme. — Viens, nous serons mieux là bas, lui murmure-t-elle en désignant un canapé dans la salle de séjour en face. » Il la saisit dans ses bras et l’emporte délicatement comme un colis lourd mais fragile jusqu’aux coussins qui les attendent. Les volets entrouverts laissent filtrer une légère clarté. Ils n’ont pas allumé de lampe, trop pressés de connaître le corps de l’autre. Dès qu’elle est allongée, il déboutonne la robe, elle se soulève pour qu’il puisse lui enlever. La tâche claire du corps est coupée par la lingerie noire. La bouche masculine revient vers ...
... les lèvres. Éliane prend la tête à deux mains, la guide. Elle l’arrache au baiser et l’amène à ses seins. Par dessus les bonnets il mord une fraise, caresse l’autre. Rabattant le soutif, elle les lui présente afin qu’il les apprécie mieux et surtout qu’il lui donne du plaisir. Mais cet hommage ne lui suffit plus, elle reprend la tête et la descend plus bas. Heureux de cette initiative, il se laisse mener par le bout du nez qui vient bientôt frotter contre la culotte. Il apprécie l’odeur dont est imprégné le tissu, lui indiquant que ses services sont appréciés. Se cambrant sur la nuque et les talons, elle fait glisser ce dernier rempart, le rejetant d’une détente de la jambe. L’ayant amené sur son terrain de prédilection, elle lui laisse maintenant l’initiative. Les mains masculines enserrent les hanches, le visage vient se frotter contre la prairie humide. La langue écarte les lèvres, monte et descend, s’enfonce dans le tunnel odorant, le nez vient exciter le bouton qui sort tout seul de son cocon. Elle reprend la tête et s’en sert comme d’un outil adapté à son plaisir. Elle la déplace, appuie lorsqu’elle a trouvé le point sensible, la descend au bas de la fourche. Comprenant l’invitation qui lui est faite, il lèche l’espace entre les deux orifices puis attaque l’arrière. Elle replie les jambes afin de mieux le lui présenter. Il avance un majeur bien droit et l’enfonce dans la cible sans trouver beaucoup de résistance. Le laissant en place il remonte honorer l’avant, atteint ...