1. La vie reprend : il faut s'adapter.


    Datte: 11/12/2018, Catégories: fh, hplusag, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, historique,

    ... d’or la fait rêver un moment avant de s’endormir. Tout deux pensent qu’une telle somme ajoutée à leurs économies serait un bon départ pour que Joseph puisse devenir maître-tisserand et s’élever socialement. Le lendemain matin aucun des deux n’ose faire part des réflexions qui les ont traversés. C’est Fernand, un camarade de Joseph, qui va être le déclencheur. Il dit que son cousin germain prisonnier avec eux est au plus mal et comme il est sa dernière famille, il lui lègue ce qu’il possède. Il regrettera son cousin avec qui il s’entendait comme un frère, mais quelques centaines de livres sont toujours bonnes à prendre. C’est Marion, après le départ de Fernand, qui glisse : — C’est bien vrai que quelques livres sont toujours bonnes à prendre.— Pour sûr t’as raison. S’il nous arrivait des choses comme ça, je pourrais penser à devenir maître plus vite. À partir de là chacun par petite touche encouragé par l’autre, en vient à évoquer la proposition de la veille. D’abord pour s’en indigner hautement, puis de manière moins virulente, avant d’évoquer à nouveau la maîtrise, la vie plus facile. Insensiblement cette perspective fait tomber les réticences. Lorsque une heure plus tard Marion est de nouveau réquisitionnée pour poursuivre le travail commencé la veille, elle a la bénédiction de son mari pour essayer d’arrondir leur bas de laine. En arrivant sur le lieu de travail. Le bourgeois recommence à la solliciter. En premier lieu elle le repousse en lui rappelant qu’elle est ...
    ... mariée. Puis ajoute que ce n’est pas parce qu’elle est pauvre que l’on peut l’acheter pour quatre malheureuses pièces. Elle s’y prend si bien, en le faisant languir jusqu’à après le déjeuner, qu’une bourse de six pièces leste sa poche quand elle le suit dans sa chambre l’après-midi. Il la fait se dévêtir et se caresser. Ayant profité du spectacle Il écarte la main et entre en elle sans difficulté, la dame ayant pratiqué sans simuler. John Custer, bien qu’ayant dépassé la cinquantaine, est encore fort vert. Il s’active longuement avant lâcher sa semence. Marion qui trouve qu’il vaut mieux profiter des choses quand elles arrivent, apprécie la prestation. Elle aime moins quand il lui met son sexe ramolli dans la bouche, mais elle ne rechigne pas. Très rapidement John retrouve toute sa raideur. Pour le deuxième service c’est à quatre pattes que Marion officie. De nouveau son chevaucheur tient la distance et Marion prend son pied en s’efforçant à un peu de discrétion. Après quelques caresses suivies d’une nouvelle fellation, le bourgeois décidément en forme repart pour un troisième tour où il la fait venir sur lui. Il en profite pour malaxer, triturer et pincer ses seins, parfois un peu rudement, mais elle ne déteste pas, pour preuve elle prend son plaisir au moins trois fois en cette dernière passe. Cela fait près de trois heures qu’elle est dans la chambre quand elle se rhabille. Le soir, de retour au couvent, son mari lui demande comment s’est passée la journée. Elle lui montre la ...
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