1. J'ai perverti la mère de mon copain (9)


    Datte: 12/12/2018, Catégories: Erotique,

    À la reprise des cours au lycée, Laurent m’a demandé comment s’était passé mon stage. Je lui ai répondu que ça s’était passé tranquillement, sans faire allusion à mes séances de baise avec sa mère. Par contre lui s’est empressé de me raconter son stage et ses aventures avec une "collègue" couguar. Il m’a raconté que dès le premier jour, une femme d’une quarantaine d’année avait commencé à lui faire du gringue. Les autres collègues l’on mis en garde à propos de cette femme qui avait la réputation de s’intéresser aux jeunes hommes. Dès le lendemain elle était arrivée au travail dans une tenue très sexy, et au cours de la journée n’a pas cessé de lui jeter des regards qui en disaient long sur ses intentions. Elle portait une jupe courte noire, plissée, qui mettait en valeur de très jolies jambes gainées. Elle avait revêtu un chemisier blanc, dont le boutonnage faisait ressortir une généreuse poitrine. On pouvait également deviner sous ce chemisier un soutien gorge de dentelle noire. Il me racontait que dès qu’elle en avait l’occasion, elle n’hésitait pas à le frôler, voir même se frotter contre lui. Tout était prétexte, comme lui montrer le maniement de la photocopieuse ou du télécopieur. Elle lui montrait également comment ranger les dossiers dans les armoires et bien entendu, le plaquait entre l’armoire et sa généreuse poitrine. Le midi, elle déjeunait avec lui dans une brasserie du coin. Elle choisissait toujours la même table, à l’écart. Et bien entendu, parfois son pieds ...
    ... s’égarait le long du sien. Elle s’en excusait, le faisant remarquer ouvertement toutefois. Tous les jours elle avait une tenue des plus sexy, trop sexy même pour une femme de son âge, pensait-il. Le vendredi midi de sa première semaine de stage, alors qu’ils déjeunaient ce jour là avec d’autres collègues, elle s’est assise sur la banquette à côté de lui. Tout au cours du déjeuner, il pouvait sentir sa cuisse venir s’appuyer contre la sienne. Il en était gêné, de peur que les autres collègues ne s’en aperçoivent. Parfois même, au prétexte de remettre sa serviette sur ses cuisses, il sentait sa main venir caresser le haut de sa cuisse. Elle lui faisait ouvertement comprendre son intérêt pour lui. Au moment de quitter la table, en annonçant à la cantonade qu’il était temps de reprendre le boulot, elle tapota sa cuisse de sa main, à l’abri du regard des autres collègues sous la table. Mais le geste finit innocemment sa course sur son entrejambe. Il fit semblant de ne s’être aperçu de rien. En fin d’après midi de ce vendredi, juste avant de terminer la journée de travail, elle lui demanda s’il était d’accord de venir dîner chez elle. Il ne savait que répondre, pris entre le désir de découvrir cette femme et le qu’en dira-t-on dans la société. Il prit le prétexte qu’il fallait qu’il demande la permission à son oncle et sa tante, pour décliner l’invitation. « Qu’à cela ne tienne. », lui dit-elle. « Je vais leur téléphoner pour les rassurer. » Il se sentait pris au piège et donna le ...
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