J'ai perverti la mère de mon copain (9)
Datte: 12/12/2018,
Catégories:
Erotique,
... Avait-il compris le jeu de sa femme ? Le dîner se passa normalement, bien que des allusions à l’échangisme furent évoquées, sûrement pour tester ses réactions. C’est après le dîner que tout a commencé. Après avoir aidé à débarrasser la table et à faire la vaisselle, il fut invité à s’asseoir dans le canapé du salon. Pendant que le mari préparait le café, elle vint s’asseoir à côté de Laurent sur le canapé. Le mari, après avoir posé le plateau avec les cafés sur la table basse s’est assis à côté de sa femme, à l’opposé de Laurent. C’est à ce moment là que la collègue posa ostensiblement une main sur la cuisse de Laurent, à la vue de son mari. Celui-ci commença à interroger Laurent sur sa vie, et surtout s’il avait une petite amie. Il répondit par la négative. Il lui demanda ensuite s’il avait déjà eu des aventures avec des filles. Laurent répondit à nouveau par la négative. « Quelle chance, un puceau ! » s’exclama la femme. Et tous les deux se mirent à rire. « Mais je vois que ma femme te fait de l’effet. » dit le mari, en constatant la bosse que faisait le devant du pantalon de Laurent. Mon copain se sentit rougir, et très mal à l’aise. Il voulait partir, mais en même temps il désirait tellement pouvoir profiter de l’occasion de baiser pour la première fois de sa vie. « Claudine ! », c’était le prénom de sa collègue, dit son mari. « Peux-tu nous montrer ce que tu portes sous ta robe. » Avec un sourire malin sur le visage, elle se leva et leur fit face. Elle déboutonna ...
... lascivement les quelques boutons du devant de sa robe qui étaient encore en place. Puis elle ouvrit lentement la robe en tenant dans chaque main un pan de celle-ci. Et là il vit qu’elle portait une magnifique guêpière rouge, en dentelle transparente. C’était ce qu’il avait entraperçu dans la cuisine, par les jarretelles qui maintenaient les bas noirs et le soutien-gorge emprisonnant sa généreuse poitrine. Et le string rouge, en tulle transparent, laissait entrevoir son joli abricot fendu, épilé. Après cette démonstration, ils burent leur café. Puis elle est allée mettre un CD de musique. Et de retour elle invita Laurent à danser un slow. Au cours de la danse, elle se collait et se frottait à lui. Tout au long du récit de Laurent, je repensais à mes séances avec sa mère. Mais elle n’avait pas le savoir faire de cette femme. Du moins pas encore. Et Laurent continuait son récit. Tout en dansant, elle laissait glisser sa robe le long du haut de son corps, puis elle finit par s’en débarrasser totalement. Il me disait qu’il bandait de plus en plus, et elle ne pouvait pas l’ignorer, vu comme elle se frottait contre lui. A la fin de la danse, ils regagnèrent le canapé, pendant que son mari emmenait le plateau des cafés à la cuisine. Quand il revint, elle avait déjà débouclé le pantalon de Laurent et tenait son sexe dans une de ses mains. « Si tu en as envie, ne te gêne pas pour moi. » dit le mari, pas si offusqué que ça de la situation. Sans se faire prier plus, Claudine se pencha en avant ...