Voir et être vu. Et plus si affinité, 3
Datte: 12/12/2018,
Catégories:
grp,
couplus,
inconnu,
boitenuit,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
échange,
attache,
confession,
totalsexe,
fbi,
... s’agit de ne pas les blesser, même si le chemin est bien préparé par les précédents. Parmi eux, Paul, mon jeune amant qui se fait un plaisir de répondre présent. Enfin, cerise sur le gâteau, c’est un beau membre noir, que je sélectionne pour prendre ma chère Lise par-devant. Le destin est avec nous car lui et son amie viennent d’arriver. Lise, de toute façon a dépassé le stade de la retenue et elle accueille l’hommage de ce partenaire par une remarque qui doit lui paraître bizarre. — Oh, oui. Le piano. Pendant que tous s’activent, je remarque qu’Agnès, la belle femme frigide, se déplace pour se rapprocher et suivre du regard le travail de baise du black, qu’elle ne quitte pas des yeux, comme si elle était fascinée par ce sexe noir qui entre et sort de Lise. On la sens troublée par ce spectacle au point que, comme certaines femmes spectatrices, elle se caresse d’une main plaquée sur son pubis. Je ne peux m’empêcher de souffler à l’oreille de son ami. — Regardez votre femme, on dirait qu’elle apprécie. Tout en continuant de sodomiser avec ardeur la douce Lise, il surveille son amie qui maintenant avance pour se placer derrière le noir. Ses mains caressent le corps, que dans une autre époque, on aurait qualifié d’ébène, descendant des épaules, caressant les flancs, les hanches pour disparaître plus bas. C’est Lise qui profite de la situation, car ses partenaires sont excités, l’un par le spectacle de son amie, l’autre par des mains baladeuses. Les sexes imposent un tel rythme ...
... et une telle force que son corps oscille sous les coups de butoir et elle se laisse emporter par cette furie, les yeux fermés. Je suis sûre que dans sa tête défilent les images d’une femme blanche soumise, mais consentante, aux assauts de ces hommes noirs de Côte d’Ivoire. Maintenant son corps se souvient de tout et, dans un flash, le plaisir monte, la jouissance arrive, l’emporte comme un tsunami. Elle gémit, crie, hurle. — Ouiiiiiiii ! C’est bon, c’est bon. Je jouis… Son corps se tend comme un arc, tous les muscles tétanisés pendant de longues secondes où les deux queues qui la possèdent doivent être immobilisées par la contraction des parois intimes. Enfin, elle se relâche, laissant ses amants libres de jouir à leur tour. La jouissance de Sophie et de ses deux amants paraît bien faible à côté de ce que nous venons de voir. Après de tels moments, nous libérons nos deux captives et nous quittons la salle en même temps que les spectateurs qui ne manquent pas de les féliciter. Alors que nous bavardons depuis plusieurs minutes dans le couloir, je vois passer Agnès, son mari et le couple de noirs, alors qu’ils se dirigent vers une chambre à câlins. Ce qui attire mon attention, c’est que Paul, qui donne la main à son épouse, la tient assez fermement et l’entraîne comme si elle était réticente. Je décide de les suivre car, en tant que femme, je me sens solidaire d’Agnès et ne veux pas qu’on lui impose quoi que ce soit. Lorsque je pénètre dans la chambre, l’homme est déjà assis sur ...