Voir et être vu. Et plus si affinité, 3
Datte: 12/12/2018,
Catégories:
grp,
couplus,
inconnu,
boitenuit,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
fgode,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
échange,
attache,
confession,
totalsexe,
fbi,
... le lit et je vois Paul placer son épouse face à lui, la forcer à s’agenouiller et il lui dit, d’un ton de commandement : — Ah, tu veux goûter de son sexe, eh bien va ! Suce-le pour lui redonner sa vigueur ! Allez suce ! Je vais pour intervenir, mais la femme de l’homme me fait un signe de la main et, m’entraînant un peu à l’écart, me dit : — Non, ne craignez rien. C’est un jeu. Il faut les laisser faire. Paul continue sur le même ton : — Allez, mieux que cela. Ce n’est pas une sucette. Il faut le faire bander. Prends-le dans ta bouche. Non pas avec les mains. Paul peut crier, mais Agnès n’est manifestement pas une oie blanche et elle sait s’y prendre pour que le sexe d’abord flasque, retrouve sa force et se déploie. Elle a de plus en plus de mal à le faire tenir dans sa gorge. — Tu en voulais une grosse, eh bien il faut assurer, dit-il en appuyant sur sa tête pour la forcer à l’avaler le plus possible. Agnès obéit et fait de son mieux. Enfin il la fait se relever pour la placer en levrette sur le lit et comme il glisse sa main vers sa vulve, il s’écrie : — Oh, la salope, elle mouille ! Tu la veux, hein, cette grosse queue noire. Eh bien, tu vas l’avoir. Et s’adressant à l’homme : prenez-la, je veux qu’elle s’en souvienne. Le temps de passer un préservatif et le sexe est absorbé sans aucune difficulté. La queue n’est pas énorme, mais c’est un beau morceau qui ne rentrerait pas facilement si le vagin était sec. — Allez, baise-la. Défonce-la, c’est ce qu’elle veut. C’est bien ...
... ce que tu veux Chérie, oui ? Allez, dis-le. Allez, dis-lui. On veut l’entendre. Paul a littéralement crié les dernières paroles et on entend un « Oui » presque timide comme réponse, qui donne toute liberté à son baiseur. Agnès est tellement surprise des premiers coups qu’elle se retrouve presque allongée sur le lit et il lui faut se cramponner pour ne pas avancer sous les coups de son amant. Car il ne la ménage pas, c’est brutal, presque violent. D’ailleurs, de temps en temps, il ressort son sexe pour s’en servir comme matraque sur les fesses, accompagné de petites claques du plat de la main. Paul semble presque inquiet de cette ardeur mais comme Agnès ne proteste pas, personne ne bouge. Il faut un long moment de ce traitement où nous n’entendons que les « han » de bûcheron, saccadant les pénétrations avec le choc de son bas-ventre contre les fesses d’Agnès, pour que petit à petit, la baisée se fasse entendre. D’abord ce ne sont que des gémissements qui feraient craindre un refus, une douleur, si ce n’est qu’Agnès n’est plus figée dans sa levrette mais qu’au contraire elle semble onduler de haut en bas et de gauche à droite, plus active que soumise. Puis les gémissements se transforment en petits cris, en mots incompréhensibles, comme si elle se parlait à elle-même. Paul la questionne, reprenant son ton dominateur. — Voilà, tu la sens sa queue. Moi je la vois, noire, longue, large, toute brillante de ta mouille et elle te baise comme tu voulais. Hein, ma salope, c’est comme ...