1. La laverie (1)


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Hétéro

    Durant l’été, le collège étant fermé, nous cherchions toutes les occasions de nous voir et d’assouvir notre passion pour le sexe. Pour la première quinzaine, j’avais réservé un appart en village vacance au bord de la mer. Pauline, soi-disant en vacances avec une vieille copine, complice pour l’occasion, y était avec moi. Son mari travaillait et avait l’habitude qu’elle parte ainsi sans lui pendant ses longs congés d’été. Nos journées se partageaient entre un peu de tourisme, des séances de plages où nous repérions d’autres coquins et coquines, de nombreuses séances de sexe et se terminaient dans un lit, pas forcement le nôtre ou dans un club libertin, très prisé en été… Malgré ce délicieux programme, certaines taches ménagères se rappelaient à nous. Ce matin, c’était la lessive et c’était pour ma pomme. Initialement, c’était son tour, mais avec force argumentation et surtout une très agréable fellation, elle m’avait convaincu de lui assurer ce service… Il faut dire qu’elle sait me sucer comme personne, et lorsque sa langue joue avec mon gland, je lui suis soumis. Et le fait qu’elle me pompe jusqu’à la dernière goutte, avalant tout mon nectar sans en perdre une seule goutte me laisse cruellement à sa merci ! Ce matin-là, je me rendais donc à la laverie du village avec mon sac de linge pendant que Pauline se prélassait au lit après sa pipe de négociation. J’étais impatient de rentrer pour pouvoir m’occuper de son abricot délicieux. Je la savais totalement mouillée, comme à ...
    ... chaque fois qu’elle suçait une queue (la mienne ou celle d’un autre), et je m’imaginais déjà glissant avec délice en elle. Dans mon sac, outre ma dosette de lessive, il y avait essentiellement nos sous-vêtements vu que nous en changions plusieurs fois par jour étant donné le rythme de nos ébats estivaux. Arrivé au local, j’ai l’embarras du choix pour la machine, aucune n’étant utilisée encore. Je prends la plus centrale, simplement parce qu’une chaise est à proximité, lit le mode d’emploi et commence à mettre mon linge dans la machine quand je suis salué par un bonjour suave. Pas besoin de me retourner, je reconnais cette voix : c’est Marité, notre voisine de village. Nos maisons sont mitoyennes de dos, mais nos cours partagent une barrière commune. Nous la voyons souvent elle et son mari puisque nous prenons nos repas sur la terrasse aux mêmes horaires. Lui est un grand black antillais assez taciturne qui part souvent à la pêche tôt le matin et rentre tard l’après-midi. Marité est assez petite, moins de25 ans je pense, black aussi, avec un cul à faire bander un mort et des seins énormes. Elle a accouché il y a 6 mois et continue d’allaiter. J’ai eu l’occasion d’admirer le charmant tableau l’autre jour dans la cour quelques minutes. Elle me voyait et j’ai eu l’impression qu’elle prenait plaisir à exhiber ses seins devant moi. Au bout d’un moment son mec est arrivé et alors elle est rentrée dans son salon. Nous en sommes restés là, mais j’avoue que depuis cette poitrine m’obsède. ...
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