1. La laverie (1)


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Hétéro

    ... Pauline dit que je devrais la brancher, mais l’occasion ne s’est pas encore présentée… Jusqu’à maintenant. Je me redresse donc et j’ai le plaisir de la contempler en robe de nuit, une sorte de long t-shirt en coton qui lui descend juste sous les fesses et à travers lequel ses seins se découpent nettement. Ses tétons sont tendus et marquent franchement le tissu. Je bande immédiatement. Je m’approche pour lui faire une bise, enfin trois chez elle, et j’en profite pour me serrer contre elle. Je sens ses seins contre moi. Je suis tellement excité que j’ai l’impression qu’elle aussi pousse contre moi… « – On vous a encore entendu hier soir… (j’avoue que la nuit a été torride) – Oups, désolé, je pensais que c’était mieux isolé, nous on n’entend rien. – Depuis la naissance, Titouan ne me touche plus… Confesse-t-elle en baissant la tête. – Oh, mince. » Je reste comme un con, considérant comme un crime de délaisser une si belle femme. egsezzui Elle a ouvert sa machine et commence à y mettre son linge. À chaque fois qu’elle se penche vers sa corbeille, son court t-shirt remonte et dévoile un peu plus son cul. Elle ne semble pas y faire attention. Moi, je n’en perds pas une miette et aperçois bien vite une légère toison qui ne cache pas une chatte délicieuse et surtout dégoulinante. Elle mouille comme une folle. Je viens à côté d’elle et pose une main sur son cul que je caresse doucement. Elle ne bouge plus, pétrifiée. « Je crois que tu as vraiment besoin qu’on s’occupe de toi » elle ...
    ... ne répond pas, mais je sens son souffle s’accélérer… Ma main descend jusqu’à son abricot et à peine ai-je touché ses grandes lèvres qu’elle se met à onduler. Elle dégouline sur ma main tellement elle est excitée. Je porte mes doigts à ma bouche et goûte son jus. Sa cyprine est presque sucrée, c’est la première fois que j’en trouve une aussi douce. Je ne résiste pas à l’envie de la boire et je viens coller ma bouche sur ce sexe liquéfié. Elle pousse un petit cri d’encouragement et se colle contre moi. Je tends ma langue dans sa vulve et goutte son délicieux nectar. Elle mouille vraiment beaucoup et je lape son jus. Je fais ensuite glisser ma langue de son périnée à son clito et je la sens frémir sous ma caresse. Je prends le chemin inverse et sa vulve s’ouvre à mon passage. Sa chatte est béante, suite à son accouchement je pense. Je pousse ma langue loin dedans, mon visage s’enfonce presque en elle, c’est jouissif. Je sens qu’elle réagit particulièrement bien et j’entreprends de la pilonner avec ma bouche. Ma langue glisse dans sa vulve, mon menton et mon nez viennent buter contre ses petites lèvres… Elle se cramponne à la machine et commence à gémir de plus en plus fort. Je me retire avant d’attirer tout le voisinage et viens l’embrasser avant de lui proposer de continuer chez nous. À ce moment je remarque de larges auréoles autour de ses seins… Elle voit mon regard intrigué et m’explique que quand elle est excitée, son lait coule tout seul. La simple évocation de ce phénomène ...